Revue Orientale et Americaine, Volym 14

Framsida
1876
 

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Sida 174 - Chinois en 1637; mais l'aridité de ces mentions ne sert qu'à nous démontrer une fois de plus l'isolement à peu près absolu dans lequel s'est renfermé depuis ces derniers siècles le peuple et le gouvernement de la grande presqu'île de l'Asie orientale.
Sida 141 - Djagatnâtha (Jagrenat).ils ont une langue et un alphabet particuliers. Ils forment une basse caste, disséminée dans tout le Midi. Ils ont pour principale fonction de creuser et réparer les étangs et les canaux. Ils jouissent seuls du privilège de pouvoir élever des porcs et quelques-uns gagnent leur vie à transporter des fardeaux à travers le pays. Voir une longue note de M. Ariel dans le Journal asiatique, n° de janvier 1847. • Les sâtiar forment une caste non errante; ils sont libres,...
Sida 88 - ... rendre solide, affermir, raffermir, reconstituer, de sorte que « avesta zend » signifierait « livre de la réforme » ; cette conjecture est fort séduisante. On ne peut nier d'ailleurs que Zoroastre, quoique M. Haug [II, 242 sq.] ait voulu le retrouver dans le Rig-Véda, ne soit un personnage assez moderne, relativement parlant.
Sida 20 - Naître et mourir sont le résultat de nos actes; la prospérité et la ruine sont dans la nature des choses, tu as (pu) le voir; les chagrins et les joies sont étrangers à la pure sagesse.
Sida 148 - XIe siècle, suivant les doctrines indiennes, le roi était l'unique propriétaire du sol; les cultivateurs n'étaient que des fermiers. En réalité, le souverain abandonnait par faveur, par commisération ou comme rémunération de leur travail, une partie de la récolte aux détenteurs du sol, qui avaient encore à payer d'autres redevances. Outre le sixième attribué au monarque, on donnait un douzième aux brahmes, et un trentième à la divinité locale ; ces obligations sont mentionnées...
Sida 81 - MAILLIEUX, président. Le procès-verbal de la séance précédente est lu et adopté. On apprend la mort de MM.
Sida 101 - ... inséparablement uni celui du sacrifice. Des rites religieux proprement dits ne présidaient chez eux ni à la naissance, ni au mariage, ni à la mort. Les cérémonies que pratiquaient les Germains, aux trois moments les plus solennels de la vie, avaient un caractère purement civil ou militaire *. Il n'ya pas, que je sache, un seul témoignage historique qui permette d'affirmer le contraire . Si maintenant nous interrogeons la religion d'une race qui est tout à l'opposé de la race germanique,...
Sida 99 - C'est d'ailleurs là l'inconvénient auquel prêtent les livres sacrés de toutes les religions, sans en excepter la Bible. La Bible s'y prête même plus que tout autre livre sacré, puisque chacune des innombrables sectes, jusque et y compris les Mormons, ont su y trouver la consécration de leurs doctrines. C'est bien étrange. D'un autre côté il ya là, suivant moi, l'argument le plus victorieux en faveur de la liberté morale.
Sida 98 - ... d'hymnes pour qu'on n'y reconnaisse une coutume immémoriale '. Dans son langage imagé, le Véda appelle ce triple sacrifice : le char à trois roues, rathas tritchakrah 2, et, par suite de l'envahissement du naturisme, le triple acte d'adoration journalier y correspond aux trois stations de Vishnu ', le soleil *, que ces actes sont destinés à célébrer.
Sida 100 - In vie, leurs descendants, bien que perdant l'intelligence des doctrines primitives, auraient conservé, à un degré quelconque, l'expression liturgique de ces croyances. Les analogies historiques nous permettent même d'affirmer qu'ils auraient conservé ces formes en raison inverse de l'affaiblissement du sens qui les avait établies. Les Egyptiens, les Chinois, les Romains, les Mexicains, pour ne nommer que ces quatre peuples formalistes par excellence, ne le sont devenus qu'à mesure que l'élément...

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