métrie, p. 58. La comparaison des intervalles, celle des accords et des phrases mélodiques, faites par une vraie superposition, p. 53 à 58. SYNCOPES ET SILENCES: comment l'élève apprend à les exprimer, pag. 163 et suiv. Leur insertion parmi les coupes du temps, p. 197 et suiv. - Syncopes continues, P. 199, note. Pourquoi les syncopes et les silences à l'entrée des temps font un effet peu naturel, p. 204. T. TEMPERAMENT: ce que c'est, p. 122. Efforts inutiles et faux calculs auxquels il a donné lieu, p. 118 et suiv., et note. Métaphysique singulière qu'on a employée pour le combattre, p. 121. Vrai point de vue de cette fameuse question, p. 122. Licences qu'il semble autoriser dans la modulation, p. 123 à 127, et dans l'écriture, p. 132 et suiv. Tendances diverses qu'il fait acquérir aux mêmes sons d'un instrument, p. 128 et suiv. TEMPS comment l'élève apprend à diviser le temps, ou l'unité de durée, par moitiés, tiers, quarts, sixièmes, huitièmes, etc., p. 162 à 166. La succession de trois tiers et de deux moitiés est des plus difficiles : la méthode enseigne à la pratiquer, p. 166. Elle enseigne aussi à mettre ces deux coupes en concours, p. 206. - Tableaux analytiques de toutes les coupes du temps, p. 178 et suiv. Calculs faits du nombre de ces coupes, ibid.-L'étude de toutes ces coupes ramenée aux trente-six premières, p. 184 et 189.-Autre génération de ces coupes, p. 184 et suiv.Temps forts et faibles, p. 167 et suiv. TON, (2.de MAJEURE) y a-t-il des tons inégaux dans la gamme? p. 71, note. - Ce qui a donné lieu à cette erreur, p. 119, note. : Ton absolu TON les changemens de tons naissent tous de la mobilité de l'ut: il n'y a qu'un seul ton qui sert de modèle à tous les tons possibles, p. 60. - Génération des tons et des modes, p. 82 et suiv. n'est pas dans la nature, p. 23 et 108. Moyen approximatif de le reconnaître, p. 109. Manière nouvelle de prendre le ton convenable à la voix du chanteur, ou à l'étendue et aux limites d'un instrument, p. 110 et suiv. L'impression prolongée d'un accord détermine un changement de ton, p. 45, 82. Chanter à divers tons ou à divers alphabets, p. 83, note. - Ne pas confondre ces deux expressions, p. 110, note. — Rapprochement entre les tons par dièses, et ceux par bémols considérés dans leur génération, p. 89.- Succession des tons qui ont le plus d'affinité, p. 101 et suiv. Phrases de divers tons extraites d'une même gamme, p. 103 et suiv. - Pourquoi l'on écrit la musique à divers tons sous divers alphabets, p. 112. TONIQUE tendance tonique, propriété singulière des sons d'une même gamme, p. 129 et suiv., 156. 156.- Propriété tonique, voy. PROPRIÉTÉ. — Causes secrètes qui la déterminent, rapportées à deux espèces, p. 155 et suiv. TRAITS traits inclinés pour désigner des dièses et bémols, p. 66. - Traits horizontaux pour désigner la durée, p. 179 et suiv. Nombre de traits qu'exige chaque espèce de fraction du temps, p. 177, note. — Pourquoi la pluralité des traits est nécessaire dans l'expression des fractions du temps, p. 195. Que la notation de J.-J. était défectueuse par cet endroit, Légère modification apportée aux doubles et triples croches, p. 207, note. p. 196. TRANSPOSITION: est moins facile aux chiffres qu'aux portées, p. 211 et suiv. Suppose une connaissance plus approfondie de la musique, p. 125. L'élève de la nouvelle méthode transpose de la manière la plus générale, c'est-à-dire, qu'il lit sous tel alphabet que ce soit une musique écrite dans un ton quelconque, p. 114 et suiv. Entre toutes les transpositions qu'il pratique, quelle est celle qu'il doit remarquer, et pourquoi, p. 112. V. Voix est l'instrument par excellence, p. 9 et suiv. -Faut-il avoir une belle voix pour étudier la musique vocale, p. 11. Ce n'est que par elle qu'on devient musicien dans toute la force du mot, p. 11 et suiv. 146, 147. FIN DE LA TABLE ALPHABÉTIQUE. |