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le tiers de la seconde mineure, et la moitié de la tité d'un dièse ou d'un bémol, ibid., note.

quan

Complémens d'INTERVALLES: ce que c'est, p. 51. — Le majeur est complément du mineur, p. 83.- Le maxime du minime, p. 106.

CORDES SONORES: dans quel rapport il faut abréger leur longueur pour les faire passer successivement de l'état de bémol à celui de bécarre et à celui de dièses p. 138, note.

D

DÉCOUVERTES (NOUVELLES): combien l'époque présente leur est favorable, p. 5.

DICTÉE (ÉCRIRE SOUS): talent rare en musique, et qui n'a jamais été jusqu'ici le produit des méthodes d'enseignement, p. 14.

DIÈSE ET BÉMOL: ces mots s'entendent quelquefois de l'intervalle même que le signe fait parcourir à la note. On dit, par exemple, qu'il y a un dièse de différence (ou un bémol) entre la tierce-mineure et la tiercemajeure. Voy. COMMA.

DIESES ET BÉMOLS: naissent tous de la mobilité de l'ut, ou du changement de ton, p. 66 et suiv.-Leur vraie définition tirée de leur génération, p. 70 et suiv. -Fausse ou obscure définition qu'on en a donnée, Le dièse élève la note et le bémol page 77, note. l'abaisse, mais ce n'est pas de demi-ton, p. 78, note.

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On pourrait démontrer que c'est d'un dixième de ton de moins, p. 8o, fin de la note. - Ce que c'est que le mi dièse et le si dièse, lé fa bémol et l'ut bémol,

p. 75 et suiv.-L'élève est convaincu que les dièses diffèrent des bémols, p. 8o. Nouveaux moyens qu'il -acquiert pour attaquer ces sons par la transformation des intervalles, p. 9o. Doubles dièses et doubles bémols, ce que c'est, p. 98.

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DIMINUÉS (INTERVALLES): leur génération, p. 104. -Si fa n'est pas une quinte diminuée; ce n'est qu'une quinte mineure, p. 107.

Division du temPS: l'oreille ne sait diviser le temps et le sous-diviser que par demies et par tiers, p. 197. Ces deux divisions, pratiquées l'une dans l'autre, conduisent à deux espèces de sixièmes, p. 191, 222; et à trois espèces de douzièmes et de dix-huitièmes, - La division ternaire semble moins naturelle P. 223.. que la division binaire, p. 188.-Dans celle-là, l'unité réelle est le tiers même du temps, ibid. Foy. TEMPS. DURÉE : comment l'oreille évalue les durées, p. 230. Qu'elle ne les évalue pas individuellement chaque son, p. 231 et suiv.-Durée absolue des sons se détermine par un pendule appelé chronomètre, p. 247. -Les adverbes italiens ne sont qu'un aliment de dispute à ce sujet, p. 200.- Limites des durées appréciables, p. 254.

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E

pour

ECHELLE A SOLFIER: second moyen matériel de la méthode. Sa description et son usage, p. 37 et suiv. Son utilité, ibid. Distinction des intervalles les barreaux de l'échelle, p. 51.-Elle se remplace, à la fin du cours, par un grand clavier dessiné, p. 152.

par

ECRITURE MUSICALE: se rapporte à l'intonation et à la durée des sons, p. 192. -Est susceptible de perfectionnemens par ce second endroit, p. 236. — La musique instrumentale plus près que la musique vocale de ces perfectionnemens, et pourquoi, ibid. N'exige que trois signes assujettis à des combinaisons régulières, P. 196. Principes généraux de ces combinaisons, p. 196 et suiv. — Application de ces principes à la formation de toutes les coupes du temps, p. 204 et suiv.

ÉLÉMENTAIRE (TRAITÉ): il n'en existe pas sur la musique. Ce que devrait être un tel livre, p. 15 et suiv. ENHARMONIQUE (GENRE): licence prétendue enharmonique qu'autorise le tempérament, p. 143. - Genre enharmonique des Grecs, p. 147. Genre enharmonique des modernes, p. 148.

ENSEIGNEMENT MUTUEL n'est point une méthode générale et applicable à tout, p. 259. — Chaque application qu'on en fait exige une découverte préalable, p. 261.. Que la nouvelle méthode n'est pas un enseignement mutuel, mais qu'elle peut aisément le devenir: de quelle manière, p. 255 et suiv.

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F

FAUSSE QUINTE : dénominations impropres, p. 86.

FAUSSE QUARTE

G

GAMME : nouvelles syllabes de gamme qu'on a proposées, p. 40, note. - Inconvénient des nôtres, qui n'appellent pas les sons dièses ni bémols, ibid.

Gamme prétendue naturelle, p. 159, note. Pourquoi l'on a dit de notre gamme qu'elle est en deux tons différens, p. 179.

H

HARMONIE: son étude est fondée sur celle de la mélodie, p. 3, 171. Son désavantage auprès de celle-ci, p. 163.-Moyens indirects de l'étudier, p. 164. L'intervention de la voix est nécessaire à cette étude,

P. 165..

Autres raisons de cette nécessité, p. 166. Cette étude se réduit à la parfaite connaissance des modulations et des accords, p. 171.-Il s'ensuit que l'élève l'étudie dès son entrée à l'école, ibid. — Qu'à l'harmonie n'appartient pas exclusivement le privilége de déterminer le ton, p. 176 à 184.

HEXACORDES: deux hexacordes démontrés égaux dans la gamme naturelle, p. 62.—Conséquences nombreuses qu'on en tire, ibid.

I

IDÉOLOGIE: c'est par les principes de cette science que la chimie s'est régénérée, p. 6. C'est par ces mêmes principes que la musique doit se régénérer, p. 4.

IMITATION l'élève de la nouvelle méthode n'imite point, il découvre; et c'est en quoi consiste la marche analytique, p. 47, 106.

IMPROVISER (ART D') : la nouvelle méthode peut, par la suite, développer ce talent chez nos amateurs, P. 176.

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contre ces sortes de quantités, p. 160, note. Erreurs en acoustique qui en sont la suite, ibid.

INSTRUMENS: Imperfection de ceux qu'on nomme à tempérament, p. 129 à 132. — Ne peuvent exécuter jamais plus de six dièses ou de six bémols à la clef, p. 140.-Le clavier pris pour terme de comparaison de tous les instrumens, p. 151.-Application de la méthode à l'étude des instrumens, p. 153. - Instrumens à ton mobile, motifs d'en construire de tels, 1.55. p. Double manière d'employer ces instrumens, p. 156 et suiv.

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INTERVALLES: par quel artifice la baguette porte des intervalles dans l'esprit de l'élève, quand il croit ne lire que des degrés conjoints, p. 43. Comment l'idée d'intervalle se dépouille peu à peu des élémens qui lui sont étrangers, p. 44. Comment les intervalles se multiplient dans l'esprit de l'élève, p. 48.-Distinction des intervalles en majeurs et mineurs, p. 82 et suiv., et Transformation des en maximes et minimes, p. 89. uns dans les autres, ibid. autres, p. 88.

L

Différence des uns aux

LECTURE DE LA MUSIQUE : il y en a deux espèces : la lecture vocale et la lecture instrumentale; mais c'est la première qui constitue le vrai musicien : la seconde n'en doit être que la suite, et non pas l'introduction, Nous ne lisons des p. 11, 13 et 14.pas yeux, rigoureusement parlant, et la parole nous sert toujours d'in

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