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ALPHABET

Il y a autant d'alphabets que de tons. On

chante à tous les alphabets sur le modèle de celui d'ut,

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L'élève de la nouvelle méthode les possède tous,
Progression de ses idées dans l'usage qu'il en fait,
Altérations qui surviennent à un ton

ibid. et suivantes.

ou à un alphabet quelconque par le déplacement de la tonique, p. 99 à 102.

ARITHMÉTIQUE : l'arithmétique de l'œil, comme celle de l'oreille, bornée au nombre trois, p. 224.

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AUGMENTÉS (INTERVALLES): leur génération, p. 104. Fa si n'est pas une quarte augmentée, ce n'est qu'une quarte majeure, p. 107.

B

BAGUETTE: grand moyen matériel de la nouvelle méthode, Son usage dans l'étude de l'intonation, p. 37 et

p. 218.

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Son usage dans l'étude de la mesure, p. 185,

201, 217 et suivantes.

Désavantage des notes auprès des coups de baguette, p. 38.- Quelles en sont les conséquences immédiates, p. 54. -Comment la baguette marque les dièses et les bémols, p. 72. Chant à deux baguettes servant à

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l'étude de l'harmonie. p. 173.

p. 172.

BASSE: étude de ses mouvemens sous un chant proposé, Moyen de faire cette étude, p. 173 et suivantes. - La basse est-elle indispensable pour déterminer le ton? p. 176 à 184. Basse chiffrée a besoin d'améliorations

p. 171.

BÉCARRE signe inutile, p. 173 et suivante, et p. 128,

note.

BEMOLS voy. DIESES.

C

CHIFFRES : ne sont ni but ni moyen dans la nouvelle méthode, et toutes les opérations de l'école se peuvent faire sans eux, p. 54, note. Ils offrent une écriture commode et curieuse, mais non pas nécessaire, p. 55. - Dans ce cas, ils ne représentent plus des nombres à l'esprit, mais seulement des syllabes de gamme, p. 57. -Employés dans les tableaux des coupes du temps, aux pages 204 et suivantes, ils sont les indices des notes noires, et le lecteur y doit restituer ces notes, p. 229. — Pourquoi la notation par chiffres répugnerait davantage aux joueurs d'instrumens qu'aux musiciens vocalistes, p. 238 et suivantes. Cette écriture nous vient de J.-J.; mais il y fallait de notables modifications pour la rendre usuelle, p. 240 et suivantes. — Motif de J.-J. pour tout écrire en ut, p. 242. — La nouvelle méthode détruit ce motif, ibid. CHRONOMETRE: description de cet instrument, p. 247 et suivantes. - Double graduation de son échelle, p. 249 et suivantes. Raison de préférer la graduation centésimale, p. 253.

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CLEFS toutes les clefs réduites à deux dans l'étude, p. 53. - L'élève n'a de prédilection pour aucune, ibid. - Lire à une clef non armée, p. 117. Les récitatifs sont dans ce cas, ibid. Rapport des clefs aux diverses octaves du piano, p. 120. Comment les clefs différemment armées peuvent concourir au même ton par l'exécution, p. 157 et suivantes.

:

COMMA est une seconde diminuée, p. 107. Il est le

tiers de la seconde mineure, et la moitié de la quantité d'un dièse ou d'un bémol, ibid., note.

COMPLÉMENS D'INTERVALLES : ce que c'est, p. 51. Le majeur est complément du mineur, p. 83. Le maxime du minime, p. 106.

CORDES SONORES : dans quel rapport il faut abréger leur longueur pour les faire passer successivement de l'état de bémol à celui de bécarre et à celui de dièse, p. 138, note.

D

DÉCOUVERTES (NOUVELLES) combien l'époque présente leur est favorable, p. 5.

DICTÉE (ÉCRIRE SOUS): talent rare en musique, et qui n'a jamais été jusqu'ici le produit des méthodes d'enseignement, p. 14.

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DIESE ET BÉMOL: ces mots s'entendent quelquefois de l'intervalle même que le signe fait parcourir à la note. On dit, par exemple, qu'il y a un dièse de différence (ou un bémol) entre la tierce mineure et la tierce majeure. Voy. COMMA.

DIESES ET BÉMOLS: naissent tous de la mobilité de l'ut, ou du changement de ton, p. 66 et suivantes. Leur vraie

définition tirée de leur génération, p. 70 et suivantes.

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Fausse ou obscure définition qu'on en a donnée, p. 77, note. Le dièse élève la note et le bémol l'abaisse, mais ce n'est pas de demi-ton, p. 78, note. On pourrait démontrer que c'est d'un dixième de ton de moins, p. 80, fin de la note.

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Ce que c'est que le mi dièse et le si dièse, le sa bémol et

l'ut bémol, p. 75 et suivantes. L'élève est convaincu que les dièses diffèrent des bémols, p. 80. Nouveaux moyens

qu'il acquiert pour attaquer ces sons par la transformation des intervalles, p. 90.-Doubles dièses et doubles bémols, ce que c'est, p. 98.

DIMINUÉS (INTERVALLES): leur génération, page 104.Si fa n'est pas une quinte diminuée; ce n'est qu'une quinte mineure, p. 107.

DIVISION DU TEMPS: l'oreille ne sait diviser le temps et le sous-diviser que par demies et par tiers, p. 197. Ces deux divisions, pratiquées l'une dans l'autre, conduisent à deux espèces de sixièmes, p. 191, 222; et à trois espèces de douzièmes et de dix-huitièmes, p. 223. La division ternaire semble moins naturelle que la division binaire, p. 188.-Dans celle-là, l'unité réelle est le tiers même du temps, ibid. Voy. TEMPS.

DURÉES comment l'oreille évalue les durées, p. 230. Qu'elle ne les évalue pas individuellement pour chaque son, p. 231 et suivantes.- Durée absolue des sons: se détermine par un pendule appelé chronomètre, p. 247. Les adverbes italiens ne sont qu'un aliment de dispute à ce sujet, p. 200. Limites des durées appréciables, p. 254.

E

ÉCHELLE A SOLFIER second moyen matériel de la méthode. Sa description et son usage, p. 37 et suivantes, — Son Distinction des intervalles par les barreaux de

utilité, ibid. l'échelle, p. 51. Elle se remplace, à la fin du cours, par un grand clavier dessiné, p. 152.

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ÉCRITURE MUSICALE: se rapporte à l'intonation et à la durée des sons, p. 192. Est susceptible de perfectionnemens par ce second endroit, p. 236. La musique instrumentale plus près que la musique vocale de ces perfectionnemens, et pourquoi, ibid. N'exige que trois signes assujettis à des combinaisons régulières, p. 196. - Principes généraux de ces combinaisons, p. 196 et suivantes. Application de ces principes à la formation de toutes les coupes du temps, p. 204 et suivantes.

ELEMENTAIRE (TRAITÉ): il n'en existe pas sur la musique. Ce que devrait être un tel livre, p. 15 et suivantes.

ENHARMONIQUE (GENRE): licence prétendue enharmonique qu'autorise le tempérament, p. 143. - Genre enharmonique des Grecs, p. 147. Genre enharmonique des modernes, p. 148.

-

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ENSEIGNEMENT MUTUEL : n'est point une méthode générale et applicable à tout, p. 259. Chaque application qu'on en fait exige une découverte préalable, p. 261. Que la nouvelle méthode n'est pas un enseignement mutuel, mais qu'elle peut aisément le devenir: de quelle manière, p. 255 et suivantes.

FAUSSE QUINTE

FAUSSE QUARTE

GAMME

F

} : dénominations impropres, p. 86.

G

nouvelles syllabes de gamme qu'on a proposées,

p. 40, note. - Inconvénient des nôtres, qui n'appellent pas

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