N

NOTES: ce n'est pas avec des figures de notes qu'on doit entreprendre l'étude de la mesure, p. 195. Ce ne sont pas ces figures qui rappellent leur durée à l'esprit du lecteur, p. 233, 238. Les notes ne désignent point de durées absolues, p. 200. Elles ont de certains avantages sur les chiffres de J.-J., p. 240 et suivantes.

Р

PARLER LA MUSIQUE: ce que c'est, p. 17.—Qu'il faut savoir parler avant d'apprendre à lire, p. 17 et suivantes. -Comment un enfant pourrait apprendre à parler la musique, p. 19. Que c'est ainsi qu'il apprend à parler sa langue natale, p. 20 et suivantes. Analyses qu'il fait du langage, ibid. Analyses qu'il ferait du chant, p. 23 et suivantes. Idée qu'il prendrait naturellement des notes de la gamme, p. 25 et suivantes.-Lire et écrire la musique ne sont que la conséquence de savoir la parler, p. 30 et suivantes, et 72, note. Étude continuelle qu'on fait de la parole et qu'on ne peut faire de l'écriture, p. 35, 166.

-

PIANOS distribution des touches sur cet instrument, p. 119. Son imperfection, p. 129. Impossibilité de l'ac corder rigoureusement, p. 131, 132. Pianos à clavier

courant, p. 130.-L'élève de la nouvelle méthode sait déterminer si les touches noires sonnent comme dièses ou comme bémols, p. 146. Le clavier pris pour terme de comparai son de tous les instrumens, p. 151. — La baguette appliquée au clavier comme à l'échelle de portées, p. 152.

POINT emploi du menu point sur les signes d'intonation, pour distinguer les octaves différentes, p. 193, note. - Manière dont l'employait Rousseau, et pourquoi, ibid. et suivantes, Emploi du point parmi les signes de durée pour indiquer la prolongation du son, p, 227 et suivantes.-C'est à tort qu'on a borné sa valeur dans l'écriture usitće, p. 229, PROPRIÉTÉS DES NOTES, OU LEUR QUALITÉ TONIQUE, DOMINANTE, SENSIBLE, etc etc, comment elles échangent entre elles ces qualités, p. 60. idées générales, p. 26, 61, note.

Comment l'élève parvient à ces

Q

QUARTE voy. QUINTE.

QUINTE distinction des quintes en majeures et mineures. p. 84 et suivantes.-La quinte si fa est mineure et non diminuée, p. 86, 107.-Les quintes majeures sont-elles inégales? p. 133, note.-Le rapport de quinte majeure est-il de 2 à 3, et celui d'octave de 1 à 2? ibid. La génération des tons est toute fondée sur le mouvement de quinte majeure donné

à la tonique, p. 96.

R

RAPPORTS NUMÉRIQUES DES INTERVALLES : discussion de ceux qu'on assigne à la quinte et à l'octave, p. 133, note. Quel est le rapport du demi-ton mineur au demi-ton majeur? p. 80, note.—Qu'on n'avait pas assigné ce rapport jusqu'ici, ibid. Rapports qui en sont la suite entre les longueurs des cordes qui sonnent tous les intervalles des sons, p. 160, Combien ces nouveaux rapports approchent de ceux qu'on a coutume de supposer, ibid. Que ceux-ci sont contradictoires, p. 133, note.

note.

RELATIFS modes relatifs, bases relatives, ce que c'est, p. 108. Comparaison des gammes relatives en un ton quelconque, p. 111.

S

SON qu'il n'y a pas de sons fixes dans la nature, p. 27 et suivantes.

SONOMETRE: c'est la même chose que monocorde.

:

SIGNES les idées précèdent les signes graphiques dans l'esprit, p. 32, 185. La musique existe hors de ces signes, p. 35. Les idées sont portées à l'esprit par des signes

oraux, non par des signes graphiques, voy. PARLER. — Raison de ne pas épargner les dimensions des signes, p. 55. Les signes du dièse et du bémol devraient faire corps avec

la note, p. 73.

Signes d'intonation : l'élève en emploie de

quatre espèces, et pourquoi? p. 192. Signes de durée :

peuvent se réduire à trois quand on voudra, p. 196.

lève découvre de lui-même la valeur des signes usités, p. 219 et suivantes. Il s'en étonne, et se l'explique aiséDans une écriture régulière, ces signes

ment, p, 221.

n'auraient pas de rapports fixes: la noire pourrait se diviser en trois croches comme en deux, p. 229. - Il en était anciennement ainsi, p. 246 et suivantes.

SILENCES, voy. SYNCOPES.

SIMULTANE (ENSEIGNEMENT): la nouvelle méthode offre un enseignement simultané qu'il sera aisé de rendre mutuel, p. 255. Elle est même, par extraordinaire, doublement simultanée, p. 258.

SUPERPOSITION: employée en musique comme en géométrie, p. 65. La comparaison des intervalles, celle des accords et des phrases mélodiques, faites par une vraie superposition, p. 60 à 65.

SYNCOPES ET SILENCES: comment l'élève apprend à les exprimer, p. 186 et suivantes. Leur insertion parmi les coupes du temps, p. 225 et suivantes. Syncopes continues, - Pourquoi les syncopes et les silences à l'entrée des temps font un effet peu naturel, p. 233.

p. 227, note.

T

TEMPERAMENT: ce que c'est, p. 137. Efforts inutiles

et faux calculs auxquels il a donné lieu, p. 132 et suivantes, et note. Métaphysique singulière qu'on a employée pour le combattre, p. 136.

Vrai point de vue de cette fameuse question, p. 138,- Licences qu'il semble autoriser dans la

modulation, p. 139 à 143, et dans l'écriture, p. 149 et suivantes. Tendances diverses qu'il fait acquérir aux mêmes sons d'un instrument, p. 145 et suivantes.

TEMPS comment l'élève apprend à diviser le temps, ou l'unité de durée, par moitiés, tiers, quarts, sixièmes, huitièmes, etc., p. 185 à 189. - La succession de trois tiers et de deux moitiés est des plus difficiles : la méthode enseigne à la pratiquer, p. 189. - Elle enseigne aussi à mettre ces deux coupes en concours, p. 235. — Tableaux analytiques de toutes les coupes du temps, p. 204 et suivantes. Calculs faits du nombre de ces coupes, ibid. - L'étude de toutes ces coupes ramenée aux trente-six premières, p. 210 et 216. -Autre génération de ces coupes, p. 211 et suivantes. Temps forts et faibles, p. 190 et suivantes.

-

TON (SECONDE MAJEURE ) : y a-t-il des tons inégaux dans la gamme? p. 79, note. Ce qui a donné lieu à cette erreur, p. 133, note.

:

TON les changements de tons naissent tous de la mobilité de l'ut il n'y a qu'un seul ton qui sert de modèle à tous les tons possibles, p. 66. Génération des tons et des modes, p. 93 et suivantes.

Ton absolu n'est pas dans la

nature, p. 27, 121. Moyen approximatif de le reconnaître, 121. Manière nouvelle de prendre le ton convenable à la voix du chanteur ou à l'étendue et aux limites d'un instrument, p. 122 et suivantes. L'impression prolongée d'un accord détermine un changement de ton, p. 50, 92. — Chanter à divers tons ou à divers alphabets, p. 94, note. Ne pas confondre ces deux expressions, p. 123, note. Rapprochement entre les tons par dièses, et ceux par bémols considérés dans leur génération, p. 101. Succession des tons qui ont le plus d'affinité, p. 113 et suiv. divers tons extraites d'une même gamme, p. 115 et sui

Phrases de