Marc Antoine Muret: un professeur français en Italie dans la seconde moitié du xvie siècleE. Thorin, 1881 - 496 sidor |
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Marc-Antoine Muret: un professeur français en Italie dans la seconde moitié ... Charles Dejob Obegränsad förhandsgranskning - 1881 |
Marc Antoine Muret: un professeur français en Italie dans la seconde moitié ... Charles Dejob Obegränsad förhandsgranskning - 1881 |
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Vanliga ord och fraser
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Sida 24 - Dans l'armée romantique comme dans l'armée d'Italie, tout le monde était jeune. Les soldats pour la plupart n'avaient pas atteint leur majorité, et le plus vieux de la bande était le général en chef, âgé de vingt-huit ans. C'était l'âge de Bonaparte et de Victor Hugo à cette date.
Sida 220 - O noctem illam memorabilem, et in fastis eximiae alicujus note adjectione signandam, quae paucorum seditiosorum interitu regem a praesenti caedis periculo, regnum a perpetua civilium bellorum formidine, liberavit ! Qua quidem nocte Stellas equidem ipsas luxisse solito nitidius arbitror, et flumen Sequanam majores undas volvisse, quo citius illa impurorum hominum cadavera evolveret et exoneraret in mare ! O felicissimam mulierum Catharinam regis matrem ! &c.
Sida 177 - La bonté devait donc faire comme le fond de notre cœur, et devait être en même temps le premier attrait que nous aurions en nous-mêmes pour gagner les autres hommes. La grandeur qui vient...
Sida 3 - Je puis t'affirmer sans mentir », avouet-il plus tard à son neveu, « que depuis l'âge de douze ans je « n'ai, pour aucune étude, employé le secours d'aucun professeur « public ou privé. A Poitiers, où mes parents m'avaient envoyé . « pour cultiver mon esprit, j'allais parfois écouter les cours de « droit civil, mais bien rarement, et moins pour y apprendre « quelque chose que pour contenter mes parents qui m'avaient « voué à cette étude. Une indomptable bizarrerie, une humeur «...
Sida 415 - Vers si polis, vers si bien entonnez, etc. Mais surtout ceste ode de longue haleine qu'il fit pour Jacques Gohorry sur la traduction du dixiesme livre de Amadis imprimé à Paris l'an 1557, ne laisse pas de me confirmer dans la créance où je suis que ce bel esprit estoit capable de tout. Elle commence de la sorte : Laissez le double Couppeau, Muses, Céleste trouppeau, Et venez voir la merveille D'un de vos plus favoris Qui du milieu de Paris Toute la France reveille.
Sida 219 - ... civiles ! Pendant cette nuit, j'imagine que les étoiles même « brillèrent d'un plus vif éclat et que la Seine roula des ondes « plus abondantes pour emporter et vomir plus vite dans la mer « ces cadavres d'hommes impurs ». Il serait vraiment piquant que l'homme qui prononçait de telles paroles eût professé dans sa jeunesse la doctrine calviniste, comme on l'en avait accusé à Toulouse \ « Universellement admiré au xvi...
Sida 410 - Ac si quaeras, quae caussa sit huius erga te tauti amoris mei, ne vivain, si aliam afferre possum, quam quod videor mihi animadvertisse in te ingenium excellens et, si tu volueris, ad omnia summa natum. Sed tu hoc facito tecum cogites, multas res esse suapte quidem natura bonas, sed quae culpa eorum, qui illas possident, interdum pessimae ac perniciosissimae fiant.
Sida 296 - Je vous supplie, quand vous verrez M. d'Aurat, que vous lui fassiez foi que je l'ayme et l'honore à bon escient et de même à M. Cujas, à M. de la Scale...
Sida 32 - Et comme en ceus là je confesse avoir usé de son aide, aussi veus-je bien qu'on sache, qu'aus choses qui pouvoient se tirer des auteurs Grecs, ou Latins, j'i ai usé de ma seule diligence.
Sida 340 - J'ai supporté, lui disait-il, d'infinies indignités de la part des écoliers, lesquels, quand je me suis bien fatigué à dire quelque chose de bon, par des cris, des sifflets, du bruit, des injures et d'autres malhonnêtetés, me troublent tellement que parfois j'en perds l'esprit.