Le glaneur, ou Essais de Nicolas FreemanCérioux, 1812 - 416 sidor |
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Sida viii
... douleur , qu'il ne pouvoit pas męme pleurer . Il m'assura que dans les grandes afflictions , il en étoit toujours ainsi avec lui , ce qu'il re- gardoit comme un surcroît d'infor- tune , parce que les larmes l'auroient beaucoup soulagé ...
... douleur , qu'il ne pouvoit pas męme pleurer . Il m'assura que dans les grandes afflictions , il en étoit toujours ainsi avec lui , ce qu'il re- gardoit comme un surcroît d'infor- tune , parce que les larmes l'auroient beaucoup soulagé ...
Sida 83
... douleur . Son cœur maternel avoit été brisé ; et je ne fus point surpris d'apprendre quelques jours aprčs , la nouvelle de sa mort . J'observerai en passant , que dans ce pays - ci , les fautes et la honte sont personnelles . Les ...
... douleur . Son cœur maternel avoit été brisé ; et je ne fus point surpris d'apprendre quelques jours aprčs , la nouvelle de sa mort . J'observerai en passant , que dans ce pays - ci , les fautes et la honte sont personnelles . Les ...
Sida 108
... douleur , et se rend semblable aux Dieux . Mon cher Théo- phraste , je suis homme , et sujet ā toutes les foiblesses humaines . Je n'aspire point aux hon- neurs de l'apothéose , et je crois les promesses de la philosophie aussi peu ...
... douleur , et se rend semblable aux Dieux . Mon cher Théo- phraste , je suis homme , et sujet ā toutes les foiblesses humaines . Je n'aspire point aux hon- neurs de l'apothéose , et je crois les promesses de la philosophie aussi peu ...
Sida 165
... douleur , et qui souffre ā mon sujet les plus vives douleurs d'un second enfantement . Que m'importe l'hymen de Paris et d'Hélčne , auquel vous me sacrifiez ? Jetez du moins un regard sur moi ! Pourquoi détourner les yeux ? Laissez ...
... douleur , et qui souffre ā mon sujet les plus vives douleurs d'un second enfantement . Que m'importe l'hymen de Paris et d'Hélčne , auquel vous me sacrifiez ? Jetez du moins un regard sur moi ! Pourquoi détourner les yeux ? Laissez ...
Sida 168
... douleur tu m'as causée ! j'ai rempli l'air de mes sanglots ! j'ai cru que Ban t'avoit enlevée . Ce dieu dangereux est tou- jours errant dans les foręts , et quand il a dansé avec le vieux Silčne , rien ne peut égaler son audace ...
... douleur tu m'as causée ! j'ai rempli l'air de mes sanglots ! j'ai cru que Ban t'avoit enlevée . Ce dieu dangereux est tou- jours errant dans les foręts , et quand il a dansé avec le vieux Silčne , rien ne peut égaler son audace ...
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Le glaneur, ou Essais de Nicolas Freeman Nicolas Freeman,Antoine Jay Obegränsad förhandsgranskning - 1812 |
Le glaneur, ou Essais de Nicolas Freeman Nicolas Freeman,Antoine Jay Obegränsad förhandsgranskning - 1812 |
Le glaneur, ou Essais de Nicolas Freeman Nicolas Freeman,Antoine Jay Obegränsad förhandsgranskning - 1812 |
Vanliga ord och fraser
aban Albert amis amour auroit avez avoient avoit Bataroski beauté belle bonheur bonne charmes Chateaubriand cher choses ciel cœur comtesse Comus connoissance connoître crois d'Elvire d'Ouabi dame Dedham Delille DÉMOSTHENES devoirs dialogues discours dit-il don Alphonse dona Isabelle douleur écrivains Elvire enfant épouse époux Esculape esprit ętes étoient étoit eût Fairbanks faisoit famille femme fleurs Floranville foiblesse force fortune FREEMAN génie goût heureux hommes Indiens ISOCRATE j'ai j'avois j'étois jamais jour Kerkabon l'amour larmes livres Lycomčde Lysandre madame Duhamel madame le Sueur main malheureux mariage Mathilde MÉNÉDČME ment Milton mœurs n'avoit n'étoit New-Yorck Note de l'Editeur Ouabi ouvrages Paradis perdu parens parler paroît paroles passer passions Pauliska pensée pčre philosophe Phrygie plaisir plaisirs poëme poëte pourroit pouvoit princesse quaker quelquefois raison ranville sais Sarah scčne sentimens sentiment seroit Sestos seule sévčre sœur sort succčs talent teur THEOPHRASTE tion toyens trouve Vénilia vérité vertu vice-roi Voltaire yeux Zuléma
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Sida 228 - Yet not the more Cease I to wander where the muses haunt Clear spring, or shady grove, or sunny hill...
Sida 229 - Thus with the year Seasons return, but not to me returns Day, or the sweet approach of even or morn, Or sight of vernal bloom, or summer's rose, Or flocks, or herds, or human face divine: But cloud instead, and ever-during dark Surrounds me...
Sida 228 - Or hear'st thou rather, pure ethereal stream, Whose fountain who shall tell ? Before the sun. Before the heavens, thou wert ; and, at the voice Of God, as with a mantle, didst invest The rising world of waters dark and deep, Won from the void and formless infinite. Thee I revisit now, with bolder wing, Escap'd the Stygian pool ; though long- detain'd In that obscure sojourn ; while, in my flight, Through utter and through middle darkness borne...
Sida 229 - And wisdom at one entrance quite shut out. So much the rather thou, celestial Light, Shine inward, and the mind through all her powers Irradiate ; there plant eyes, all mist from thence Purge and disperse, that I may see and tell Of things invisible to mortal sight.
Sida 227 - HAIL, holy Light, offspring of Heaven first-born! Or of the Eternal coeternal beam May I express thee unblamed? since God is light, And never but in unapproached light Dwelt from eternity...
Sida 228 - And feel thy sovran vital lamp; but thou Revisit'st not these eyes, that roll in vain To find thy piercing ray, and find no dawn; So thick a drop serene hath quench'd their orbs, Or dim suffusion veil'd.
Sida 228 - Orphean Lyre I sung of Chaos and Eternal Night, Taught by the heav'nly Muse to venture down The dark descent, and up to reascend, Though hard and rare: thee I revisit safe, And feel thy...
Sida 228 - Those other two, equalled with me in fate So were I equalled with them in renown, Blind Thamyris, and blind Maeonides, And Tiresias and Phineus prophets old. Then feed on thoughts, that voluntary move Harmonious numbers; as the wakeful bird Sings darkling, and in shadiest covert hid Tunes her nocturnal note...
Sida 173 - Le Seigneur a détruit la reine des cités : Ses prętres sont captifs , ses rois sont rejetés. Dieu ne veut plus qu'on vienne ā ses solennités.
Sida 164 - Si tu n'es pas un dieu caché sous la forme d'un mortel, tu es sans doute un étranger que les Satyres ont égaré comme moi dans les bois. Dans quel port est entré ton vaisseau ? Viens-tu de Tyr, si célčbre par la richesse de ses marchands? Viens-tu de la charmante Corinthe, oų tes hôtes t'auront fait de riches présents? Es-tu de ceux qui trafiquent sur les mers jusqu'aux colonnes d'Hercule...