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12.

-

L.

Lecture de la MUSIQUE: il y en a deux espèces; la lecture vocale et la lecture instrumentale; mais c'est la première qui constitue le vrai musicien : la seconde n'en doit être que la suite, et non pas l'introduction, p. 9, 11 et Nous ne lisons pas des yeux, rigoureusement parlant, et la parole nous sert toujours d'intermédiaire, page 12, note. On ne lit pas les notes de la musique comme les syllabes du discours, e'est-à-dire, une à une et isolément, sans rapport à celles qui les entourent: différence essentielle entre ces deux lectures, p. 24. — On ne peut lire oralement le musique que quand on sait la parler, p. 65, note. Voy. PARLER.

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LETTRES: peuvent servir, comme les chiffres et les portées, à écrire l'intonation, p. 26. Les signes de durée leur sont également applicables, p. 169. - On croit que les Grecs les employaient à écrire leur musique.

LIVRE OUVERT note sur cette expression, p. 114. Raisons de croire que l'élève de la nouvelle méthode sache lire à livre ouvert, p. 113. - Faits qui le prouvent, p. 5 et suiv.

M.

MATHÉMATIQUES: fait-on de la musique par les mathématiques? p. 49.

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MAXIMES ET MINIMES (INTERVALLES ): on ne rend pas, à son gré, maximes ou minimes tous les intervalles de la gamme, p. 96. Quels sont ceux qu'on peut rendre tels, ibid. C'est au mode mineur que naissent ces intervalles, et ce sont eux qui donnent la couleur à ce mode, p. 100. Voy. AUGMENTÉ et DIMINUÉ.

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MELODIE: Son étude doit naturellement précéder celle: de l'harmonie, p. 3, 151. Ce n'est qu'à l'aide de la voix qu'on peut l'étudier convenablement, p. 11. →→ Elle a, indépendamment de l'harmonie, le privilége de déterminer le ton, p. 155 à 162.

MESURE: les difficultés de la mesure ne viennent le plus souvent que de celles de l'intonation, p. 51. --Que la mesure peut concourir à la détermination du ton, p. 157 et suiv. - Distinction des mesures à deux et à trois temps, p. 166. Chacune présente deux modes de sous-division, p. 212. A quel point l'oreille peut reconnaitre l'espèce de la mesure dans un chant qu'elle écoute, p. 167 et suiv. Bizarre effet du concours des deux espèces de mesure, p. 205. — Difficulté vaincue, p. 206. Mesures à 3, à, à 3, co qué c'est, p. 189, 213. Double origine de la mesure, p. 215. La mesure à quatre temps ne constitue pas une espèce de plus, p. 213. Nos signes, faits pour la division binaire, ne figurent qu'avec effort dans la mes sure, p. 215. L'étude de la mesure se réduit à l'art de diviser le temps. Voy. TEMPS.

P. 230.

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MÉTHODE ce que c'est qu'une nouvelle méthode, Celle-ci se compose de deux parties distinctes, p. 8. Est-ce par les méthodes vulgaires que se sont formés nos grands musiciens? p. 14. Effets de la nouvelle méthode, p. 5 et suiv. → Que Rousseau n'a point fait de méthode d'enseignement, quoiqu'il en ait eu le dessein, p. 49, note.,

METRONOME: c'est la même chose que chronomètre., Voy. ce mot.

MODE MINEUR : cordes variables de ce mode sur le sixième et le septième degré, p. 92. Elles forment de vraies modulations, p. 100. L'échelle du mode mineur n'est pas indécise, comme on la présente ordinairement, p. 99 et suiv. - Le mode est-il indiqué à

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la clef? p. 97 et suiv. -Ce qu'on a proposé pour lever cette incertitude , p. 98, note. Les élèves de la nouvelle méthode n'en ont pas besoin, p. 97. - Comparaison des échelles des modes relatifs majeur et mineur, P. 99.

MODULATION: lois de la modulation, p. 101 et suiv. -Licences de modulation qu'autorise le tempérament, p. 123 à 127. Comment l'élève est lancé dans le vaste champ des modulations, p. 150. et suiv. Dès-lors, il est entré dans le domaine de l'harmonie, p. 150. — L'oreille est sobre de modulations, et n'en avoue que le moindre nombre possible dans une mélodie qu'elle écoute, p. 158 et suiv. Mais la force de l'harmonie peut l'entraîner à y en admettre davantage, p. 160. L'extrême fréquence des modulations la fatigue sans lui plaire, p. 162.

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MONOCORDE: expériences contradictoires qu'on a faites sur cet instrument, p. 120. Faux calculs qu'on y a fondés, ibid.

3

MOUVEMENT: ne doit pas se confondre avec la mesure, p. 214. Indication de quelques mouvemens par le chronomètre, p. 222. Les adverbes italiens n'ont pas la vertu qu'on leur attribue de désigner le mouvement de la mesure, p. 175.

MUSICIEN qu'il le faut distinguer d'avec l'artiste p. 10, 29. Comment se sont formés nos grands musiciens, p. 14. Procédé secret de tout musicien pour lire la musique, p. 194. C'est ce secret que dévoile la méthode, p. 189, 194, 230.

MUSIQUE : qu'il y faut distinguer deux choses, l'art et la science, et que l'un est subordonné à l'autre, p. 2 et suiv. Sa définition

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une

, p. 10. Qu'elle est langue, ibid. Qu'elle est aussi uue branche de phy

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sique expérimentale, p. 231,

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Disproportion des

progrès que font les élèves dans la musique et dans les autres branches d'instruction: quelle en est la cause, P. 13.

N.

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NOTES: ce n'est pas avec des figures de notes qu'on doit entreprendre l'étude de la mesure, p. 171. Ce ne sont pas ces figures qui rappellent leur durée à l'esprit. du lecteur, p. 204, 208. -Les notes ne désignent point de durées absolues, p. 175. Elles ont de certains avantages sur les chiffres de J, J., p. 210 et suiv.

!

P.

PARLER LA MUSIQUE: ce que c'est, p. 15.

1

7

Qu'il

faut savoir parler avant d'apprendre à lire, p. 14 et suiv. Comment un enfant pourrait apprendre à parler la musique, , p. 16.—Que c'est ainsi qu'il apprend à parler sa langue natale, p. 17. et suiv. Analyses qu'il fait du langage, ibid. Analyses qu'il ferait du chant p 20 et suiv. Idée qu'il prendrait naturellement des notes de la gamme, p. 21 et suiv. Lire et écrire la musique ne sont que la conséquence de savoir la parler p. 25 et suiv. et 65, note. Etude continuelle qu'on fait de la parole et qu'on ne peut faire de l'écriture, p. 30, 146.

--

PIANO: distribution des touches sur cet instrument, Son imperfection, p. 116. p. 107. Impossibilité de l'accorder rigoureusement , p. 117, 118. Pianos à clavier courant, p. 116. L'élève de la nouvelle

méthode sait déterminer si les touches noires sonnent comme dièses ou comme bémols, p. 129. Le clavier pris pour terme de comparaison de tous les instrumens,

p. 134.

La baguette appliquée au clavier comme à l'échelle de portées, p. 135.

note.

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POINT: emploi du menu point sur les signes d'intonation pour distinguer les octaves différentes, p. 169, Manière dont l'employait Rousseau, et pourquoi, ibid. et suiv. Emploi du point parmi les signes de durée pour indiquer la prolongation du son, p. 198 et suiv. C'est à tort qu'on a borné sa valeur dans l'écriture usitée, p. 201.

2

PROPRIÉTÉ DES NOTES, QU LEUR QUALITÉ TOnique, DOMINANTE, SENSIBLE etc.: comment elles échangent entr'elles ces qualités, p. 54. Comment l'élève parvient à ces idées générales, p. 22, 54, note.

QUARTE: voy. Quinte,

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Q.

1

QUINTE distinction des quintes en majeures et mineures, p. 75 et suiv. La quinte si fa est mineure et non diminuée, p. 76, 96. Les quintes majeures sont-elles inégales ? p. 119, note. Le rapport de quinte majeure est-il de 2 à 3, et celui d'octave de 1 à 2?" p. 120, note. La génération des tons est toute fondée sur le mouvement de quinte majeure d'onné à la tonique, P. 85.

Ꭱ.

RAPPORTS NUMÉRIQUES DES

INTERVALLES : discussion

note.

de ceux qu'on assigne à la quinte et à l'octave, p. 119, Quel est le rapport du demi-ton mineur au demi-ton majeur ? p. 72, note. Qu'on n'avait pas assigné ce rapport jusqu'ici, p. 71, note. Rapports qui en sont la suite entre les longueurs des cordes qui sonnent

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