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sieurs Gille et, Béatry, horlogers, à Tours, le premier, passage de Richelieu, u 15, et le second, rue des Récollets, n° 51, pour un caissier compteur mécanique.

679 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Guilmet (André-Romain), horloger-bijoutier, représenté par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, no 29, pour appareils destinés à remplacer les roues des véhicules dits appareils Guilmet.

680° Le brevet d'invention de quiuze ans, dont la demande a été déposée, le 30 mai 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Jousselin (Paul-Louis), place Dauphine, n° 13, pour un appareil électrique avertisseur pour les trains de chemin de fer.

681 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1*juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Joviaux (Antoine), à l'usine à gaz, à Saint-Denis, pour l'extraction des coloris des fleurs d'iris, des fleurs de rose trémière et de fleurs de pied d'alouettes et pour la variation des couleurs que produisent ces coloris.

682 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Haut-Rhin, par le sieur Lacour (Jean-Baptiste), blanchisseur et apprêteur, à Sainte-Marie-aux-Mines, pour une euve de blanchiment continu des tissus et filés de colon, chanvre et lin.

683' Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1*juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Laforest (Étienne), à Paris, rue des Patriarches, n° 5, pour une scie à sucre et ses accessoires.

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684° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 30 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de Loir-et-Cher, par le sieur Lecomte-Alliot, à Villeny, pour un moteur hydraulique applicable aux navires.

685 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département des Bouches-du-Rhône, par le sieur Litau (Joseph), serrurier, rue Villeneuve, n° 4, à Marseille, pour un chariot circulaire dit colimaçon, servant à la piqûre et au bordage des chapeaux.

686 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 30 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Manzini (Vincent), élisant domicile chez le sieur Jacquement, à Paris, rue de l'Odéon, no 21, pour application des diamètres sécants mobiles ou palettes sécantes aux roues des machines locomotives, pour leur faire franchir les rampes extraordinaires des chemins de fer et pour les faire descendre sans l'emploi des freins.

687 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 26 juin 1862, an secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Marzo (Antoine-Amédée), à Paris, rue Saint-Denis, no 398, pour un sabot à ressort s'adaptant à toute espèce de siéges dit sabot Marzo.

688 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 30 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Rexroth (Jacques) et Plaz (Boniface), à Paris, rue Grange-aux-Belles, n° 21, pour un système destiné à obtenir le point de surjet ou de zig-zag, applicable à toutes les machines à coudre.

68° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 30 juin 881, an secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Savaria (François-Édouard), à Paris, quai de la Grève, no 33, pour un genre de virole, 600 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Loire, par les sieurs Tourey (Louis), mécanicien, et Morel (Jean), tourneur sur métaux, à Firminy, pour une machine à fabriquer les essieux pour chemin de fer et toutes autres voi

tures.

691 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Veron (Marie-Théophile-Alexandre), représenté par le sieur Le Blanc, à Paris, rue SainteAppoline, no 2, pour un genre d'outils à surfaces développables, appliqués à la déco

ration architecturale.

692 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Vigier

(Pierre-Justin), courrier convoyeur, représenté par le sieur Gosselin, à Paris, rue de l'Hermitage, n° 11, pour un cadenas à recouvrement mobile dit cadenas révélateur.

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693° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Charente, par le sieur Viravaud (Antoine), chaudronnier, élisant domicile à Cognac, pour un système de chaudière à double effet pour distiller les vins, dit système Viravaud.

694° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Weil (Samuel) et (Raphaël), négociants, représentés par le sieur Amouroux, à Paris, rue Saint-Martin, no 333, pour une écharpe couvre-poitrine dit l'indispensable du voyageur.

695° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 28 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par la société Weldon et Weil, fabricants de boutons, représentés par le sieur Perpigna, à Paris, rue du Cherche-Midi, no 13, pour divers genres de boutons.

696° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 30 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Wigham (John-Richardson), représenté par le sieur Ansart, à Paris, boulevard Saint-Martin. n° 33, pour des perfectionnements apportés aux appareils pour la fabrication du gaz, dont une partie s'applique aussi aux usages culinaires.

697 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Abels (Jean-Guillaume), serrurier-mécanicien, à Paris, rue des Fossés-SaintMarcel, n° 23, pour un genre de garde-manger à courant d'air continu.

698 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Bourrasset (Gilbert-Joseph-Alfred) et Périmon (Alexandre), représentés par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, I 29, pour une matière tinctoriale bleue teignant à froid et pour son mordant, ledit mordant applicable à toutes autres couleurs.

699 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Cambon de la Valette (Jean-Antoine-Alexis), représenté par le sieur Bonneville, à Paris, rue du Mont-Thabor, n° 24, pour des embrasures de canon à bord des bâtiments blindés.

700° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Carré (François), à Paris, avenue de la Porte-Maillot, n° 23, pour un genre de siéges de jardins.

701 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieur Caudrelier (Auguste), architecte, et la société veuve Patou et fils, marbriers, à Paris, le premier, rue d'Angoulême-du-Temple, n° 68, et les derniers, passage Holzbacher, rue des Trois-Bornes, n° 8, pour un procédé ayant pour but de rendre indestructible et inaltérable aux acides le grès des Vosges et ses similaires, sous la dénomination de pierres indestructibles.

702° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Coates (Erza-Jenks), représenté par le sieur Bonneville, à Paris, rue du Mont-Thabor, n° 24, pour des perfectionnements dans les machines à estamper, couper et presser les métaux et autres matières.

703 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Delaye (Pierre-Victor), à Paris, rue Saint-Sauveur, no 22, pour un mode d'impression fond chaîne pour tissus.

704° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Fleury (Eugène), fabricant de flacons, et Renaudin (Paul), vannier, représentés par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, n° 29, pour un genre de elissage de flacons dit clissage Fleury.

705 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le

sieur Gallard (Edme-Célestin), fabricant de chaussures, représenté par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg, no 23, pour un procédé de décoration de chaussures.

706 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 24 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Gaudrillier (Victor-Constant), à Paris, rue de Montmorency, n° 28, pour un perfectionnement apporté dans les balanciers de pendule.

707 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Loire-Inférieure, par le sieur Giffard (Alphonse), libraire, rue du Calvaire, no 3, à Nantes, pour un système de chargement et de déchargement des navires et bateaux.

708° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 24 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Haut-Rhin, par le sieur Jaeger (Charles), négociant en horlogerie, à Thann, pour divers perfectionnements apportés aux montres.

709 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Langlois (Jacques-Lucien), négociant, représenté par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, n° 29, pour traverses métalliques pour chemin de fer.

710° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sienr Lévy (Michel-Paul), négociant, à Paris, boulevard des Italiens, n° 9, pour ap plication de la fonte aux coulisses des lits.

711* Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Masetti (Bartoloméo), horloger, représenté par le sieur Ménarini, élisant domicile chez le sieur Baillet, à Paris, rue Richer, n° 26, pour des perfectionnements apportés à la fabrication des horloges à roue de compte et notamment aux pendules.

712 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Mouline (Louis-Eugène), à Paris, rue des Filles-Saint-Thomas, hôtel de France et d'Angleterre, pour l'emploi de la vapeur pour la propulsion des navires, en la faisant agir directement sur l'eau ambiante.

713 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sienr Nicolet (Jean-Ernest-Désiré-Gautier), gérant de la maison Lacoste, à Paris, rue Pierre-Sarrazin, no 3, pour un genre de publicité consistant dans un gant découpé par des procédés mécaniques ou autre moyen pour servir de prospectus ou d'annonce et applicable à toutes les industries par la représentation d'un objet quelconque. 714° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 14 mai 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Opper de Blowitz (Henry-George-Stéphan-Adolphe), fabricant d'étoupes, représenté par le sieur Richard, à Paris, rue Saint-Sébastien, no 45, pour des perfectionnements apportés dans les machines servant à transformer en étoupes les vieux cordages.

715 Le brevet d'invention de "quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Parisot, Chappuis et compagnie, fabricants, représentés par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, n° 29, pour un genre de clef de montre et de bélière.

716 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 5 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Nord, par le sieur Pass (Jean-Gerhart), fabricant de vinaigres, rue de la Couronne, n° 12, à Dunkerque, "pour une machine à mouvement perpétuel ou continu.

717 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur. Ponçon (Jean-Marie), verrier, rue des Grilles, maisons Desnoyer, à Pantin, pour application du soufflage et du moulage à la fabrication des lettres d'ornement en verre et en cristal.

718 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Pradier (François), fondeur en cuivre et fabricant, à Paris, rue du Faubourg-Saint

Martin, n° 235, pour des perfectionnements apportés aux gardes-robes, consistant dans une disposition qui permet de séparer immédiatement les liquides des solides. 719 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Reiss (Auguste), à Paris, rue de Fourcy-Saint-Antoine, n° 6, pour un cric à vis et à patte pour locomotive.

720 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 2 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département d'Indre-et-Loire, par le sieur Sertier (Thomas-Théodore), fabricant, à Cinq-Mars-la-Pile, pour un mouleur mécanique de pâte à porcelaine, de terre de pipe, de grès et terre.

721° Le brevet d'invention de cinq ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Siès (Victor-Pierre), à Paris, rue du Temple, n° 106, pour un instrument d'optique dit polydoscope à double effet et multiplicateur.

722 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 3 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département des Bouches-du-Rhône, par la société nouvelle des forges et chantiers de la Méditerranée, réprésentée par le sieur Guignar de Prangins (Arthur), directeur de l'exploitation, rue Saint-Féréol, n° 51, à Marseille, pour un marteau-pilon hydraulique.

723° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le "juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieurs Trollé (Louis-Gabriel) et Planus (Louis-Claude), à Paris, le premier, rue Saint-Denis, no 268, et le second, rue de Paris, n° 275, quartier de Belleville, pour un mode de publicité.

724 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de Seine-et-Oise, le sieur Veret (Jules-Adonis), garde-moulin, à Gif, pour un pressoir à hélice.

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725° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Warner (Arthur), représenté par le sieur Sautter, à Paris, boulevard Mont`martre, no 14, pour des perfectionnements dans l'épuration du gaz de houille (patente anglaise de quatorze ans, expirant le 4 janvier 1876).

726° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 1 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Wichnewsky (Florian), représenté par le sieur Bonneville, à Paris, rue du Mont-Thabor, no 24, pour des perfectionnements aux pistolets revolvers à double ou simple mouvement.

727° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Wilson (Edward-Browin), représenté par le sieur Ansart, à Paris, boulevard SaintMartin, no 33, pour des perfectionnements apportés dans les appareils employés pour la fabrication du fer et de l'acier.

728° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Pas-de-Calais, par le sieur Bimont (Eugène), fabricant de tulle, à Saint-Pierre-lès-Calais, pour la production sur tulle des effets d'ombre, de lumière, de demi-teinte et nuances graduées, au moyen de fils indépendants du fond.

729° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Blanchon (François-Armand), manufacturier, représenté par le sieur Mathieu, à Paris, rue Saint-Sébastien, n° 45, pour perfectionnements aux pistolets atmosphériques pour jouets.

730° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Bonheur-Gaffré (Emmanuel), représenté par le sieur Amouroux, à Paris, rue Saint-Martin, no 333, pour un genre de fermoir mécanique dit fermoir Bonheur, applicable aux berthes, victorias, cols, cravates et confections et à tous genres de four

rures,

731° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 11 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département des Hautes-Pyrénées, par les sieurs Capoulat (François), forgeron, et Delmas fils aîné, représenté par le premier, à Tarbes, pour un marteau à l'usage des meuniers.

732 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de l'Hérault, par le sieur Cavayé (François), limonadier, boulevard de l'Esplanade, n° 19, à Montpellier, pour une application à la ceinture de natation dite ceinture Cavayé, déjà brevetée.

733 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Rhône, par le sieur Charvin (Félix), quai de la Charité, n° 4, à Lyon, pour un procédé de teinture au lokao.

734 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 10 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de l'Eure, par le sieur Damour (Jean-Baptiste-Désiré), corroyeur et fabricant de galoches, à Évreux, pour un genre de galoches, semelles en bois et empeignes en cuir.

735 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 5 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Gard, par le sieur Daumeron (Pierre), fabricant de tapis, rue Rulmann, n° 14, à Nîmes, pour une étoffe de meubles dite Gobelin broche.

736 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Nord, par le sieur Deutte (François), directeur de filature, rue des Poutrains, no 41, à Tourcoing, pour un genre de filature longue laine, fils moulinés de diverses couleurs.

737 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département des Ardennes, par le sieur Dagard (Louis), ferblantier, à Novy-Chevrières, pour un genre de lanterne.

738 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 9 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de l'Aisne, par le sieur Fox (Henri), verrier, à Cuffiès, pour un procédé d'embouchure à vis intérieure applicable à toute espèce de bouteilles.

739 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 4 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Garcy (George-Washington), représenté par le sieur Guion, à Paris, boulevard Saint-Martin, n° 29, pour un système de moufle.

740 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Moselle, par le sieur Gontier-Grigy (Denis-Ambroise), élisant domicile chez le sieur Bazin, rue du Petit-Paris, n° 9, à Metz, pour un mécanisme dit automoteur continu,

741 Le brevet d'invention de dix ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Côte-d'Or, par le sieur Grillet (Antoine), tonnelier, à Beaune, pour un dépotoir pour les vins vieux en bouteilles.

742° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par le sieur Guillemot (Maurice), mécanicien, représenté par le sieur Flé, à Paris, rue de la Jussienne, n° 6, pour un soufflet mécanique destiné à toute espèce de soufflerie, spécialement à la soufflerie des orgues.

743 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 27 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département de la Seine, par les sieurs Heinson-Huch (Édouard), négociant, et Windhausen (François-Joseph), représentés par le sieur Ricordeau, à Paris, boulevard de Strasbourg, no 23, pour une machine à gaz inflammable ou machine calorique à haute pression,

714 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 10 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Nord, par le sieur Jacqmarcq (Jérôme), fabricant de produits chimiques, à Saint-Saulve, pour emploi de la naphthaline comme lubrifiant.

745 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 7 juillet 1862, au secrétariat de la préfecture du département des Côtes-du-Nord, par le sieur Joret (Simon), mécanicien, à Guingamp, pour une conserve ou boîte à conserver les substances alimentaires.

746 Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le 13 juin 1862, au secrétariat de la préfecture du département du Finistère, par le sieur Labasgne (Auguste), agent voyer, à Brest, pour un compteur à cadrans concentriques pour chaines d'arpentage ou pour rubans métriques.

747° Le brevet d'invention de quinze ans, dont la demande a été déposée, le

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