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DEUXIÈME CLASSE.

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l'empesage, le repassage, le pressage et le calendrage du linge, le nettoyage et la remise à neuf des dentelles, blondes, tulles, gazes et bas de soie. Par Mme Pelouze. in-18. avec fig. Chez Audot. 1 fr.

Fait partie du Guide de la ménagère, publié par Audot.

Recueil général sur la marche et sur le développement de l'institution royale agronomique et sur la situation de la ferme de Grignon au 1er juin 1828. in-8. Chez Mme Huzard.

La Cuisinière de la campagne et de la ville, ou la Nouvelle cuisine économique. Par L. E. 4. 7 édition, augmentée par Sulpice Barue. in-12. avec 9 pl. Chez Audot. 3 fr..

Mémoires d'agriculture, d'économie rurale et domestique, publiées par la Société royale et centrale d'agriculture. Année 1827. in-8. avec pl. Chez Me Huzard. Tome I.

JARDINAGE.

Plans raisonnés de toutes les espèces de jardins. Par Gabriel Thouin. 3e édition.in-fol. Chez Mme Huzard. Livr. IV. avec 12 pl. 10 fr.; pl. color. 20 fr.

L'ouvrage aura cinq livraisons.

Pratique simplifiée du jardinage.

Par Louis Dubois. 5. édition, augmentée de détails sur les fleurs, les arbres et les arbustes d'agrément. in-12. avec 9 pl. Chez Raynal. 3 fr.

ART VÉTÉRINAIRE.

Doctrine physiologique appliquée à la médecine vétérinaire, ou de la nature et du traitement de différentes maladies, et en particulier de la gourme, de la fourbure, de la morve, du farcin, de la pousse, des fièvres gastriques, des péripneumonies aiguës, etc.; éclairés de nouvelles obserpar vations et par leur étude anato

ico-pathologique. Par C. Radet. in-8. Chez Cordier.

Manuel complet du vétérinaire, etc.; suivi de l'Art de l'équitation. Par Lebeaud. 2° édition, augmentée. in-18. avec pl. Chez Roret. 3 fr.

Elémens de pathologie vétérinaire, ou Précis théorique et pratique de la médecine et de la chirurgie des principaux animaux domestiques. Par P. Vatel; suivis d'un Formulaire pharmaceutique vétérinaire, et terminés par un Vocabulaire pathologique, contenant les noms anciens et modernes proposés ou employés dans le langage médical vétérinaire. in-8. Chez Gabon. Tome II. avec 4 pl. Prix de souscription pour les trois volumes, 16 fr.

Le premier volume a paru en 1827.

Traité du pied, considéré dans les animaux domestiques. Par J. Girard. 2o édition, auginentée.

in-8. avec 6 pl. Chez Mme Huzard.

Traité de la ferrure sans contrainte, ou Moyens de ferrer les chevaux les plus vicieux en moins d'une heure et de les corriger pour toujours de leurs défauts; système puisé dans les principes de la physiologie du cheval. Par Constantin Balassa, capitaine de cavalerie autrichienne. in-8. Chez Anselin. 2 fr. 50.

Anatomie des régions du corps du cheval, considérée spécialement dans ses rapports avec la chirurgie et la médecine opératoire. Par J. Rigot. Planches, dessinées et lithographiées par l'auteur. Ouvrage pouvant servir de complément à la partie chirurgicale des Elémens de pathologie vétérinaire du prof. Vatet. in-fol. Chez Gabon. Livr. I. 6 fr. L'ouvrage aura 2 livraisons.

ARTS MÉCANIQUES ET
INDUSTRIELS.

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bre 1826. Par Seguin aîné. in-4. Chez Bachelier.

Art du vitrier. Par DoubletteDesbois. in-18. avec pl. Chez Audot. 1 fr.

Fait partie de l'Encyclopédie populaire. Le volume traite en trois chapitres: Des travaux du vitrier. Des divers ouvrages en vitrerie. De l'encadrement des estampes, des châssis métalliques pour vitrage, etc.

Art de la peinture en bâtiment et des décors, y compris le badigeon et la tenture des papiers, à l'usage des ouvriers et des propriétaires. Par Doublette-Desbois, peintre-vitrier. 2 vol. in-18. avec pl. Chez Audot. 2 fr.

Fait partie de l'Encyclopédie populaire. Contenu : Du pesage, du pilage, du tamisage, etc. Des ustensiles de l'atelier du peintre en bâtiment. - Observations sur l'emploi des couleurs dans la peinture en bâtiment. - Pour mettre en couleur et cirer les apparteDu mélange et de l'emploi de quelques couleurs. De la dorure. De la pose du papier de tenture.

mens.

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Recueil industriel, manufacturier, agricole et commercial, etc., etc. Par de Moléon. in-8. avec pl. Chez l'Auteur, rue Taitbout, n. 6; et chez Bachelier. Septembre.

Contenu: Appareil de secours contre les incendies, proposé par Guérin. — Du quartier neuf de la Villette, et des avantages commerciaux, industriels et agricoles qu'il présente à la ville de Paris et au nord de la France; par de Moléon. Suite de la dissertation sur l'emploi du vinaigre à la guerre, comme agent de destruction et comme moyen de défense; par Rey. — Suite de l'ana. lyse des votes des Conseils-Généraux. Procédé pour blanchir la cire et le suif, pour lequel un brevet d'invention a été accordé à M. Davidson, de GlasCOW. - Baignoire flottante et insubmersible. Indicateur agricole et commercial. Bibliographie. Et cetera.

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Traité des machines à vapeur et de leur application à la navigation, aux mines, aux manufactures, etc. Trad. de l'angl. de Tredgold, par N. Mellet. in-4. Chez Bachelier. Livr. III. IV. Prix de l'ouvrage complet en quatre livraisons avec atlas et planches, 30 fr.

L'Art du tailleur, ou Application de la géométrie à la coupe de l'habillement. Ouvrage précédé d'un Cours élémentaire de génmétrie mis à la portée de tout le 'monde, et accompagné de 120 figures géométriques et de 70 mơdèles d'habillement, formant en

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de l'impératrice. On envoya son mari à Évreux avec une recette générale. -Chap. XX. Le vice-roi à Navarre.· La reine Hortense. Il est impossible d'apporter dans le monde plus d'amabilité, d'instruction et de bonhomie qué le vice-roi; il faisait, pour captitous les frais qu'eût pu faire un simple particulier qui eût voulu paraître aimable. Ennemi déclaré de l'étiquette, il tâchait de s'y soustraire le plus possible, défendait aux huissiers de l'annoncer afin de nous éviter l'ennui de nous lever tous chaque fois qu'il entrait. « C'est bien assez, disait il, d'être forcé de subir toutes les tristes conséquences du pouvoir quand je suis à Milan, qu'au moins ici on me permette de m'amuser un peu. C'est un rude métier que celui d'être roi, quand on n'a pas été élevé pour cela. r- - Chap. XXI. Naissance du roi de Rome. Les petites mines de la reine de Naples et de la princesse Pautine. Au bal que donna Joséphine à Évreux, à l'occasion de la naissance du roi de Rome, M. de Clermont-Tonnerre

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fournit un épisode qui fit rire tout le inonde, excepté lui. Dansant devant Sa Majesté, il voulut faire de son mieux, et risqua un entrechat qui eat des suites fâcheuses. Il était fort gros, et retomba avec si peu de légèreté qu'il enfonça le plancher exhaussé de six pouces du pavé de marbre; son pied se trouva tellement engagé qu'il fallut faire venir un menuisier pour agrandir le trou où il était pris comme un renard dans un piége. Chap. XXII. La fête de l'impératrice à Evreux. Chap. XXIII. L'impératrice nous parle de son divorce. — Lettre qu'elle écrit à l'empereur quelques jours après. Lettre de Joséphine au pape.

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· Conduite du vice-roi et de la reine Hortense. Le vice-roi et la reine Hortense voulaient tous deux quitter la France sans retour, et suivre leur mère en Italie, où elle devait aller. Ce fut Joséphine qui leur dit que l'empereur était leur bienfaiteur, leur père; qu'ils lui devaient une obéissance sans bornes, et que ce serait ajouter à ses maux que de donner des sujets de mécontentement à leur souverain. Enfin, elle leur parla avec tant de force, qu'ils consentirent à rester, et plus tard à être témoins d'un mariage qui devait leur être si odieux. Tout le monde sait quelle noble conduite le vice-roi déploya lors de la cassation de celui de sa mère. Chap. XXIV. Plusieurs traits de sensibilité de l'impératrice. Chap. XXV. M. Spontini vient à Navarre.

Supercherie ingénieuse de Méhul à l'empereur. MM. Paër, Cimarosa, Paësiello, Chérubini, Lesueur. A l'époque où Ariodant, Euphrosine, Stratonice, obtenaient le plus de succès, Napoléon répétait sans cesse à Méhul, que ses ouvrages étaient fort beaux, sans doute, mais qu'ils ne contenaient pas de chants comparables à ceux des maîtres italiens. « De la science, et toujours de la science, voilà ce que vous nous donnez, mon cher; mais de la grâce, des chants et de la gaîtė, voilà ce que vous autres Français, n'avez pas plus que les Allemands. » Méhul ne ré

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pondit rien; mais il fut trouver son ami Marsollier, et le pria de lui faire un petit acte bien gai, dont le canevas fût assez absurde pour pouvoir accuser un poète de libretto de l'avoir fait. Il lui recommanda le plus grand secret. Marsollier ayant une confiance parfaite dans le talent et l'esprit de son ami, se mit à l'œuvre, et fit très-promptement l'opéra de l'Irato. Il le porta chez Méhul, qui, immédiatement, composa la char. mante musique que l'on applaudit encore avec transport. Marsollier se rend au comité de l'Opéra-Comique, dit qu'il a reçu d'Italie une partition dont la musique est si délicieuse, qu'il est certain du succès, malgré la faiblesse du poëme, qu'il s'est donné la peine de traduire de l'italien. Les acteurs l'entendent, en 'sont charmés, et veulent monter l'ouvrage. Ils se disputent les rôles, et tous les journaux annoncent avec emphase que bientôt on verra jouer un opéra ravissant, encḥanteur, d'un auteur italien. La première représentation est annoncée, Napoléon dit qu'il ira, et engage Méhul à y assister avec lui. « Ce sera un crève-cœur pour vous, mon pauvre ami; mais peut-être en entendant ces airs si différens de ceux de l'école moderne, reviendrezvous de cette manie de faire du baroque. » Méhul eut l'air contrarié de tout ce que lui dit Bonaparte, et se refusa à aller au spectacle; on le pressa, il finit par cé. der. Dès l'ouverture, les acclamations de Napoléon commencèrent. Tout était charmant, naturel, plein de grâce et de fraîcheur, il applaudissait à tout moment, en répétant : Décidément il n'y a que la musique italienne. La pièce s'achève au milieu des plus bruyans applaudissemens, et les auteurs sont appelés avec enthousiasme. Martin vient demander à Marsollier s'il veut être nommé comme traducteur. « Non, répondit cclui-ci, mais comme auteur des paroles, et vous annoncerez en même temps, que la musique est de Méhul.. La surprise fut générale au théâtre; car le secret avait été si bien gardé, qu'au

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