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bert du Petit-Thouars. in-8. Imp. de Gueffier.

ART VÉTÉRINAIRE.

Atlas du Dictionnaire de médecine et de chirurgie vétérinaire. Par El. Leblanc et A. Trousseau. in-fol. Chez Baillière. Livr. IV. V. VI. avec 15 pl. 7 fr. chacune.

De l'embouchure du cheval, ou Méthode pour trouver la meilleure forme de mors, d'après les proportions et les principes les plus simples de l'embouchure du cheval; suivie de la description d'une bride qui empêche le cheval de se cabrer. Par le chevalier Maximilien de Weyrother. in-8. Chez Anselin. 2 fr.

ARTS MÉCANIQUES ET

INDUSTRIELS.

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Essai pratique sur l'art du briquetier au charbon de terre, près les procédés en usage dans le département du Nord et dans la Belgique. Par J. F. Clerc. in-8. avec 4 pl. Chez Gœury.

Traité de serrurerie. Par L. G. Monnin. in-fol. avec 27 planches. Chez Jean.

L'Art du tailleur, ou Application de la géométrie à la coupe de l'habillement. Ouvrage précédé d'un Cours élémentaire de géométrie mis à la portée de tout le monde, et accompagné de 120 figures géométriques et de 70 modèles d'habillement, formant ensemble 36 planches. Par Compaing. Chez Dondey - Dupré père et fits. in-4. pap. vél. collé. 7 fr. 50.

Personne ne conteste que tous les arts ne soient assujétis à des règles qu'on ne saurait violer impunément. Pourquoi donc l'art du tailleur (et nous entendons ici l'art de tailler les habillemens des hommes et des dames) serait-il exempt de cette obligation? Si jusqu'à présent le goût seul a présidé à la coupe des vêtemens qui nous font remarquer dans les salons ou les réunions publiques; si, seul, il fait distinguer ces vêtemens de ceux confectionnés par les tailleurs vulgaires, faut-il en conclure que le goût soit suffisant, et que se livrer à d'autres moyens d'arriver plus sûrement à la perfection, soit chose superflue? Qui ne sait qu'un coupeur habile est un homme recherché par nos tailleurs en vogue? Qui ignore qu'un tel homme peut être, et est presque toujours étranger au reste de la confection d'un habit? Or quel a été jusqu'à présent le guide de cet habile coupeur (qu'on pourrait sans prévention qualifier du nom d'artiste)? Le goût, rien que le goût. C'est beaucoup, sans doute, mais ce n'est point assez, s'il n'est guidé lui-même par des principes fixes qui l'empêchent de s'égarer. Nous dirons même que les meilleurs coupeurs qui ont été formés depuis quelques années sont, pour la plupart, des hommes qui ont exercé une autre profession, et qui avaient, par ce moyen, des dispositions à appliquer la géomé trie à la coupe de l'habillement. Mes chers confrères! soyez-en persuadés, notre art est parvenu à un degré d'élévation qui le place au rang des arts les plus distingués. C'est nous qui sommes, en cette partie, les régulateurs des autres peuples civilisés. Craignons que nos voisins, qui sont aussi nos rivaux, ne nous ravissent cette sorte de gloire. Essayons donc de sortir de la vieille routine, pour adopter une voie qui pourra nous mener aux plus brillans résultats. Satisfait de vous avoir indiqué la route, je me trouverai glorieux de parcourir avec vous une carrière dans laquelle on peut encore conquérir plus d'une palme. (Extrait du Prospectus).

NAVIGATION.

Manuel du jeune marin, ou Précis pratique sur l'arrimage, l'installation, le gréement et la ma

nœuvre d'une frégate de 44 canons. Par L. S. Baudin. in-8. avec 6 pl. Toulon, chez Lau

rent.

TROISIÈME CLASSE.

HISTOIRE.

Mémoires sur Napoléon, l'impé ratrice Marie-Louise et la Cour des Tuileries, avec des notes critiques faites par le prisonnier de Sie-Hélène. Par Me veuve du général Durand, première dame de l'impératrice Marie-Louise. (De 1810 à 1814). in-8. Chez Ladvocat.

Encore des mémoires sur Napoléon et sa cour! Il y en a tant, qu'il semble qu'il ne reste plus rien à dire sur le grand homme. Ceux-ci cependant méritent encore d'être lus, ils contiennent des anecdotes piquantes et des particularités inconnues. Le volume se compose de vingt chapitres et de dix-sept pièces justificatives. Napoléon, à qui le manuscrit a été communiqué dans le temps, y a ajouté quelques notes de sa main, en se contentant souvent de mettre les mots faux, betisc. Un extrait de la table des matières avec quelques citations suffiront pour faire apprécier l'ouvrage. - Chap. I. Caractères de la famille de Napoléon.-Jérôme, roi de Westphalie. La princesse de Wurtemberg. Cause de divorce de Marie

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duc d'Enghien. Napoléon et de Joséphine. Louise. Lorsque Bonaparte, encore premier consul, voulut se faire empereur, il trouva une forte résistance dans sa

propre famille. Sa mère, le cardinal Fesch et son frère Lucien, firent en vain les plus grands efforts pour le faire renoncer à cette idée. A la suite de ces débats, les deux premiers allèrent passer quelque temps à Rome; le troisième, après une scène violente dans laquelle il lui prédit une partie de ce qui lui est arrivé, le quitta en jurant qu'il ne vivrait jamais sous son despotisme. Il partit réellement peu de jours après avec toute sa famille, et ne vécut en France qu'à l'époque des cent jours. Murat n'avait été nommé roi de Naples qu'au refus de Lucien, qui, lorsque son frère lui proposa cette couronne, lui répondit que, s'il acceptait le titre de roi, il voudrait être le seul maître de son royaume, et pouvoir le gouverner, non comme un préfet, mais en prince indé pendant. (Note de Napoléon: Faux. Fesch, à l'époque de l'empire, était depuis dix-huit mois ambassadeur à Rome). Dès que le divorce fut prononcé, toute l'Europe eut les yeux fixés sur la France, et l'on formait mille conjectures pour savoir quelle serait la souveraine qui viendrait y régner. Savary, duc de Rovigo, fut envoyé en Russie pour faire la demande d'une sœur de l'empereur Alexandre. Cette négociation paraissait même sur le point de réussir, quand l'impératrice douairière la fit échouer en déclarant formellement que jamais elle ne consentirait à

cette alliance. (Note de Napoléon : Faux. Le duc de Rovigo n'a pas été envoyé en Russie pour demander la main d'une soeur d'Alexandre. Caulaincourt était alors ambassadeur : la demande eut lieu par une lettre confidentielle à l'empereur Alexandre. La princesse ne fut pas refusée, seulement on demanda du temps). Chap. II. Arrivée de Marie- ▾ Louise à Braunow. Sa maison. Madame Murat. Renvoi de madame. Lajenski et d'un petit chien. - Kencon tre de Napoléon et de Marie-Louise à Soissons. Chap. III. Napoléon. Sa

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vie. Ses habitudes privées. Ses mœurs publiques. Son caractère.

Traits de bonté et de bienfaisance. Napoléon, dans les camps et dans ses premières campagnes, ne craignait aucune fatigue, bravait les plus mauvais temps, couchait sous une mauvaise tente, et semblait oublier tous les soins de sa personne. Dans son palais, il se baignait presque tous les jours, se frottait tout le corps d'eau de Cologne, et changeait quelquefois de linge plusieurs fois dans la journée. Son costume de prédilection était le frac des chasseurs à cheval de la garde. Dans ses voyages, tout logement lui semblait bon, pourvu que le moindre jour ne pût pénétrer dans sa chambre à coucher; il n'y supportait même pas une veilleuse. Sa table était chargée des mets les plus recherchés, mais il n'y touchait jamais une poitrine de mouton grillée, des côtelettes, un poulet rôti, des lentilles ou des haricots, étaient ce qu'il mangeait de préférence. Il était difficile sur la qualité du pain, et ne buvait que le meilleur vin, mais en très-petite quantité. On a prétendu qu'il buvait tous les jours huit à dix tasses de café; c'est une fable: il n'en prenait qu'une demi-tasse après son déjeuner et autant après avoir dîné. Il est vrai cependant qu'il était tellement distrait et préoccupé, qu'il lui est arrivé quelquefois de demander son café immédiatement après l'avoir bu, et de soutenir qu'il n'en avait pas pris. Il mangeait très-vite, et se levait de table

dès qu'il avait fini, sans s'inquiéter si ceux qui y étaient admis avaient eu le temps de diner. Il avait le verbe haut; et quand il était en gaîté, ses éclats de rire s'entendaient de fort loin. Il aimait à chanter, quoiqu'il eût la voix trèsfausse et qu'il n'eût jamais pu mettre une chanson sur l'air. Il avait beaucoup de plaisir à chanter : Ah! c'en est fait, jeme marie! ou, Si le roi m'avait donné Paris sa grand'ville. Chap. IV. Napoléon organise l'intérieur de la maison de Marie-Louise. - Rivalités de femmes. · Les diamans et les perles, anecdotes. M. Paër. L'orfèvre Biennais.

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Le gé

Chap. V. Madame de Luçoy. néral Lannes. Murat. Mot de Joséphine. Anecdote sur Napoléon et madame Murat. — Le duc et la duchesse de Montebello. — Corvisart. Le préfet Mèredequi. Murat était connu dans l'armée par une bravoure à toute épreuve, bien que ses compagnons d'armes ne lui accordassent pas les qualités principales qui constituent un grand général. Joséphine disait en parlant de Murat :

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Que cet homme sentait la poudre à canon d'une lieue, et qu'il aurait sabré le Père Eternel lui même. » Le jour que Murat vint faire à l'empereur ses remercîmens du titre de prince qui lui avait été conféré, Lannes se trouvait avec beaucoup d'autres militaires dans le salon de réception. L'huissier ouvrit les deux battans de la porte en annonçant Le prince Murat! Beau prince de mon c..! dit tout haut le genéral en se tournant vers les autres personnages. Ce propos fut rapporté à Murat, qui voulut lui envoyer un cartel; mais l'empereur le lui défendit, et ce fut à cette époque qu'il envoya Lannes én Portugal. (Note de Napoléon: Faux). Un préfet de département l'un des plus éloignés de la capitale, ayant été mandé à Paris, reçut, dès le lendemain de son arrivée, une invitation à dîner chez Cambacérès. Le palais de celui-ci était mitoyen avec celui de la mère de l'empereur. Le préfet se trompa de porte, et au lieu d'entrer chez l'archi-chance

a

lier, il entra chez Madame. Le hasard voulut qu'elle reçût ce jour-là grande compagnie. Le fonctionnaire déclina son nom, et on l'introduisit dans un salon où beaucoup de personnes étaient déjà réunies; cherchant des yeux Cambacérès, et ne l'apercevant point, il prit place dans le cercle sans adresser la parole à qui que ce fût., « Excusez la liberté que je prends, monsieur, lui dit un de ses voisins, mais il me semble que vous n'avez pas été saluer Madame. Madame qui? dit le nouveau débarqué, qui savait que Cambacérès n'était pas marié. Madame mere, reprit son voisin. - Mais mère de qui? demanda le provincial. Mère de S. M. l'empereur. Je ne suis donc pas chez Cambacèrès ? - Vous êtes chez la mère de l'empereur. Le pauvre préfet, honteux et confus, s'enfuit plus vite qu'il n'était arrivé et n'eut pas même la présence d'esprit d'offrir quelques excuses. Depuis ce temps on ne le désigna plus que par le sobriquet de M. le préfet Mèredequi. Chap. VI. Mot de l'empereur.

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Dubois.

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· Les hommes de lettres.

Le clergé. Mme la comiesse de Montesquieu. L'accouchement de l'impératrice était difficile et laborieux. M. Dubois ne cacha point à l'empereur qu'il craignait de ne pouvoir sauver en même temps la mère et l'enfant. « Ne pensez qu'à la mère, s'écria vivement Napoléon, et donnez-lui tous les soins. » — Le nombre de poëmes, épîtres, odes, strophes, couplets, etc., etc., écrits dans toutes les langues vivantes de l'Europe (l'anglais excepté), qui furent composés à l'occasion de la naissance du roi de Rome et adressés à l'empereur ainsi qu'à l'impératrice, s'éleva en moins de huit jours, à plus de deux mille. L'empereur accueillit toutes ces pièces, sans les lire il est vrai, et avec elles les demandes de grâces de toutes, sortes que les auteurs avaient eu la prévoyance de joindre à la lettre d'envoi.

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Chap. VII. Les trois fauteuils. La médecine de l'impératrice. Les trois partis. - Voyage à Fontainebleau.

Bulle d'excommunication envoyée par le pape. L'abbé d'Astros. Le duc

meneu.

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de Rovigo. — Le directeur général de la librairie. Le comte Bigot de PréaVisite au pape. Pie VI avait lancé contre Napoléon les foudres du Vatican. La sentence d'excommunication avait été envoyée de Rome à Paris à l'abbé d'Astros, alors grand-vicaire capitulaire de l'archevêché, attendu la vacance du siége, Celui-ci la fit imprimer et l'afficha secrètement à la porte de l'eglise Notre-Dame en présence de quelques chanoines sur la discrétion desquels il pouvait compter. Bientôt des copies de ce bref se répandirent dans Paris et de là dans toutes les provinces. On assurait que le directeur général de la librairie et de l'imprimerie en avait été informé, et n'avait pris aucune mesure pour réprimer cet abus : il n'en avait pas même prévenu l'empereur. Le duc de Rovigo, ministre de la police, fut un des premiers instruits de tout ce qui s'était passé, et comme depuis longtemps il était en rivalité avec ce fonctionnaire, il profita de cette occasion pour faire à Napoléon un rapport trèscirconstancié, dans lequel le directeur de la librairie n'était pas flatté. Aussitôt que l'empereur en eut pris connaissance, il entra dans un de ces accès de colère difficile à décrire ce jour-là il était attendu au conseil d'état, il y entra violemment agité; chacun avait remarqué l'altération qui régnait sur son visage, et ne disait mot; personne ne bougeait: Napoléon seul allait et venait dans la salle du conseil, en ne laissant échapper que des phrases entrecoupées et sans suite; on n'entendait distinctement que le mot bigot, épithète qu'il appliquait probablement à l'abbé d'Astros. Bigot de Préameneu, conseiller d'état, était présent à cette séance. Ce mot de bigot avait plusieurs fois frappé son oreille, et il croyait que l'empereur l'appelait : « Sire, dit-il en se levant.Que voulez-vous ? dit Napoléon - Sire, j'ai cru que Votre Majesté me parlait. Point du tout... mais oui... un mo

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ment... Bigot, je vous nomme ministre des cultes. » Et c'est ainsi que ce nouveau ministère fut institué. Le directeur de la librairie, qui était en même temps conseiller d'état, arrivait à l'instant; il se disposait à prendre sa place ordinaire. « Restez, lui dit l'empereur, et répondez-moi. Savez-vous ce qui s'est passé à Notre-Dame dimanche dernier? ne balbutiez pas; point de détours jésuitiques. Sire, je savais que....

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Ah! vous le saviez! et vous ne m'en instruisez pas! On m'avilit publiquement, et vous gardez le silence! On ose publier une bulle d'excommunication contre moi, et vous laissez passer cela comme ça! Sire, j'ai cru qu'en sévissant publiquement contre un homme qui avait cru remplir son devoir, je ne ferais qu'attirer sur lui l'intérêt qui s'attache toujours à un martyr; j'ai pensé que l'oubli était un devoir que... Votre devoir! votre devoir!... Le premier de tous était de me consulter... Je ne vous soupçonne pas de mauvaises intentions, mais... Allons, allez vous asseoir. » Et cette affaire en resta là pour le moment. Mais quelques jours après, l'abbé d'Astros, pour se conformer à l'usage, fut obligé de se présenter devant l'empereur, à la tête du chapitre de NotreDame, pour lui offrir les complimens du nouvel an. Dès que Napoléon l'aperçut, le souvenir de ce qui s'était passé au conseil d'état vint ranimer toute sa colère; et, s'avançant vers lui avec un geste menaçant : « Ah! ah! lui dit-il, c'est donc vous qui voulez allumer dans mes états le feu de la sédition, qui trahissez votre souverain pour exécuter les ordres d'un prêtre étranger? Je ne veux ni révolte, ni fanatisme, ni martyr... Je suis chrétien... et plus chrétien que vous tous... Je saurai soutenir les droits de ma couronne contre ceux qui vous ressemblent... Dieu m'a armé du glaive... que vous et vos pareils ne l'oublient pas. L'abbé d'Astros voulut répliquer; un geste impératif de l'empereur l'obligea de se retirer. - Chap. VIII. Galanteries de Napo

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léon. - La robe de linon. - Madame Valeska. Le château de Compiègne. La Grazini et Rode. - Fouché. Plusieurs galanteries de Napoléon sout an notées par lui fausses. Nous n'en citerons qu'une, qui n'est pas désavouée. Un jour l'empereur fit appeler Fouché, alors ministre de la police générale, et lui dit qu'il s'étonnait qu'avec son habileté reconnue il ne fit pas mieux son métier, et qu'il se passait des choses qu'il ignorait. « Oui, répondit le ministre piqué, il y a des choses que j'ignorais, mais que je sais maintenant. Par exemple un homme de petite taille, couvert d'une redingotte bleue, avec un chapeau à trois cornes, sort tous les deux jours du château, entre huit et neuf heures du soir, par la petite porte du pavillon Marsan, au-dessous des cuisines, et, accompagné d'un seul homme plus grand que lui, mais habillé de la même manière (Duroc), monte dans un fiacre, et va en droite ligne rue Chantereine, no 28, chez la Grazini; le petit homme, c'est vous, à qui la bizarre cantatrice fait des infidélités en faveur de Rode, le violon, qui demeure rue du Mont-Blanc, hôtel de l'Empire. », A ces mots, Napoléon, tournant le dos à son ministre, se mit à se promener les mains derrière le dos, en sifflant un air italien, et Fouché se retira sans rien ajouter. Chap. IX. Parallèle entre MarieLouise et Joséphine. Bienfaisance des deux impératrices. Enfance du jeune Napoléon. Le jeune Napoléon vit un jour sous ses fenêtres une femme en deuil qui tenait par la main un petit garçon de trois à quatre ans, aussi en deuil. Celui-ci tenait en main une pé-. tition qu'il montrait de loin au jeune prince. L'enfant voulut savoir pourquoi ce pauvre petit était habillé tout en noir ? La gouvernante lui répondit que c'était, sans doute, parce que son papa était mort. Il lui témoigna un grand désir de parler à cet enfant. Mme de Montesquiou, qui saisissait toutes les occasions de développer sá sensibilité, y consentit et donna ordre qu'on le fît

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