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deningrad. Publichnaia biblioteka

BIBLIOTHÈQUE IMPÉRIALE PUBLIQUE DE ST.-PETERSBOURG.

CATALOGUE

DE LA SECTION DES

RUSSICA

ου

ÉCRITS SUR LA RUSSIE EN LANGUES ÉTRANGÈRES.

TOME I.

AM.

ST.-PETERSBOURG.

IMPRIMERIE DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES.

(Vass.-Ostr., 9 ligne, No 12).

1873.

Imprimé avec l'autorisation du Directeur de la Bibliothèque.

Grafton 52526 22.67 2006

Immédiatement après la nomination du Baron (maintenant Comte) Modeste de Korff au poste de Directeur de la Bibliothèque Impériale Publique en 1849 se firent les premiers pas vers la réalisation d'une idée qui depuis longtemps l'avait occupé. Il s'agissait de fonder une section spéciale, destinée à réunir tous les livres publiés en langues étrangères, ayant trait à la Russie sous quelque rapport que ce fût intérieur ou extérieur. Pour atteindre plus tôt à ce but, la Bibliothèque publia en 1851 un catalogue de désiderata: „Materialien zum Versuch eines Katalogs sämmtlicher über Russland in fremden Sprachen erschienenen Werke". Le but de la publication de ce catalogue compilé au moyen de divers ouvrages bibliographiques était, non-seulement

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II

de donner lieu aux corrections et aux compléments nécessaires, mais encore d'aider à résoudre une question de première importance, celle des limites de l'entreprise. La difficulté en est évidente, et quoique nous soyons maintenant en état de publier quelque chose de plus complet que notre premier catalogue, redigé à priori, il ne serait cependant pas impossible d'y trouver encore quelques lacunes, vu l'impossibilité de découvrir l'un ou l'autre ouvrage surtout anciennement imprimé. D'ailleurs il faut prendre en considération, que cette section n'est pas une institution indépendante, mais qu'elle est avec les autres sections de notre grande bibliothèque dans un rapport de telle nature que souvent, après avoir réuni toutes les éditions d'un ouvrage, nous avons dû nous décider à les assigner à quelque autre section. Si la collection représentait une bibliothèque isolée, les limites auraient été moins difficiles à tracer, car alors nous y aurions admis bien des livres qui nous auraient permis d'offrir aux recherches des savants un ensemble aussi complet que possible. Si l'on envisage notre collection à ce point de vue, si l'on considère qu'elle n'est qu'une partie de la grande bibliothèque d'état, dans laquelle sont représentées toutes les branches de la science humaine, on pourrait plutôt nous reprocher d'avoir été trop larges dans notre récolte. Comme, de tout temps, on avait rencontré sur ce point les plus grandes divergences d'opinions et que chaque année la collection, en grandissant, offrait un tableau plus clair du plan 'sur lequel elle était basée, nous voulûmes encore une fois connaître les opinions des savants et des bibliographes de la Russie et de l'étranger, et nous publiâmes en 1860, à un petit nombre d'exemplaires, les „Feuilles d'épreuve du catalogue

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