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se soutiennent offrent en elles-mêmes tous les contrastes. Influence des passions sur toutes les fonctions de la vie. Les passions roulent sur le plaisir on sur la donteur; mouvement que les unes et les autres produisent dans le corps humain. - Passions expansives et concentrives; leurs effets généraux et Partieners. Les passions peuvent servir de remède an oral et au physique, par cela seul qu'il y a variété et contraste dans leurs résultats : il en est qui se gué rissent spontanément; d'autres sont in curables et la nature offre pour elles des contre poids salutaires; il en est enfin qui sont curatives d'autres affections au

A

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moral et au physique exemples de ha une ce ces espèces de passions; phéno mètres particuliers qu'elles présentent - Eflets des passions sur les maladiesi du corps; nombreux exemples. 31 73 Section quatrième. Des affections de la sensibilité physique, considérées comme salutaire's ou curatives d'autres maladies. - Considérations générales; orig'ne 'commifu des plaisirs et des douleurs physiques? 12q Sensations péni

incurables; et les douleurs de cette espèce sont un des plús puissans moyens que la nature emploie pour relever l'action tonique des solides:' exemples des heureux effets qui résultent de ces sortes de douleurs. — Dans le système verrenx' où tout se rattache à un centre com man, une douleur chasse toujours une autre douleur, quelquefois 'aussi la douleur exerce une influence utile sur d'autres maladies'; 'il est cependant certains cas où la douleur empoisonne l'existence de l'homme, sans servir de' préservatif ou de moyeh curatit,1?

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-Cet ouvrage est divisé en six chapitress

Chapitre premier Des espèces et des varietes des fièvres intermittentes et résultantes. Des Variétés de la fièvre tierce. Des variétés de la fièvre quarte et de la fièvie quotidiennë.”'a

Chaptre deuxieme. Des
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7.01

bles souvent nécessaires¦ à cause de leur mes des fièvres intermittentes o

rapport avec certaines fonctions de la vie, Les douleurs qui affectent les systèmes nerveux we sont pas dangereuses el terminent souvent des maladies gra

ves.

sueur,

et

tentes Des symptôinès essentiels des fèvres intermittentes et rémittentes. 1o. Des symptôvies de la période du froid des fièvres intermittentes. 2°. Des symp On peut établir entre les affectômes des périodes du chaud et de la tions de cette espèce les mêmes divisions' Des symptômes anomaux des que dans les maladies en général et daus fièvres intermittentes. Des symptô les passions et affections de l'aine. mes propres aux différens, types. en est qui se guérissent d'elles-mêmes; la manière dont les différens types tieng et l'on doit remarquer à cet égard que, nent plus ou moins de la fièvre continue, lorsque les douleurs ont un temps limité, c'est parce qu'elles offrent une vertu curative de leur cause. Il en est d'autres

De

Des maladies avec lesquelles se com pliquent le plus souvent les fièvres intermittentes. Du pronostic des fièvres

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4

1. Chapitre sixième,

De la manière d'agir des médicamens employés dans les fièvres intermittentes,

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4

Considérations médico-physiologi qués sur la nature et le traitement de la rage, par J. Simon, Broch. in-8 Méquignon Marvis i fr. 50 c.

Des Etablissemens des aliénés en France, et des moyens d'amé iorer -le sort des infortunés, par Esquirol. Broch. in-8. Madaine Huzard. 1 fr.

Voyez sur le même sujet un Traité plus étendu, l'ouvrage du Dr Spurz heim: Observations sur la Folie, analysé dans notre Journal de l'année passée.

Traité des maladies chirurgicales et des opérations qui leur convien nent, par M. Boyer, etc. (Voyez pour le développement du titre, l'adresse et le prix, le dixième cabier de ce Journal 1818.)

>

Article cinquième.

Le quatrième volume est consacré aux maladies des articulations. Il embrasse, comme le précédent volume, une multitude de faits: aussi l'auteur a-t il été obligé de diviser son sujet en vings. deux chapitres : nous allons en offrir aussi l'objet.

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1. De l'entorse. 2. Des luxations en général. Des différences des luxations. Des causes des luxations. Des eflets des luxations. - Des sigues des luxations. Du pronostic des luxations. - Du straitement des luxations. 3. Des luxations de la mâchoire inférieure. 4. Des luxations des vertèbres. - De la luxation de la tête sur la première vertè. bre cervicale. De la luxation de la première vertèbre cervicale sur la seconde. De la luxation des cinq dernières vertèbres, cervicales. De la luxation du corps des vertehres, 5. Des des côtes. 6. De l'écartement luxations des os du bassin. 7. Des luxations de la clavicule. Des luxations de l'extré

mité sternale.

***

Des luxations de l'ex

Des

Des Des

trémité humérale de la clavicule. S. Des luxations du bras. 9. Des luxatious de l'avant-bras. 10. Des luxations des os de l'avant bras, entre eux, — - Des luxations de l'extrémité supérieure du radius. Des luxations de l'extrémité inférieure du cubitus, 11. Des luxations de la main. Des luxations du poignet. luxatious du corps entre eux. luxations des os du métacarpe. luxations des doigts. 12. Des luxations de la cuisse. 13. Des Inxations spontanées ou consécutives du fémur. Des luxations de la rotule. 15. Des luxa-tions du tibia et du péroné. 16 Des laxations du pied. 17. Des plaies des articuTatrons. Plaies simples par instrumens piquans. Plaies simples par instruPlaies compliquées les articulations 18. Des corps étrangers qui se forment dans les articulations. 19. De l'hydropisie des articulations, 20. Des tumeurs blanches ou fongueuses

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des articulations. 21. De l'ankilose. 22. De certaines dilo mités produites par quelques dérangemens survenus peu à peu et sans violence extérieure dans la direction naturelle des surfaces articuculaires des us.

Dictionnaire des Sciences médicales, etc..., par une Société de Médecins, Tomes xxx111. (Mét← Moi.) 1 vol. in-8. Panckoucke, 9 fr.

DEUXIÈME CLASSE

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Manuel du Cultivateur et Projet d'établissement de quatre Universités résidentes dans quatre fermes expérimentales situées près Paris, Lyon, Bordeaux et Strasbourg, dont l'un vient d'être créé par S. M. 1 vol. petit in-4. Paris et Lyon. Chez les Marchands de Nouveautés,

Plans raisonnés de toutes les espè ces de jardins, par Gabriel Thouin, cultivateur et architecte de jar dins. Première et deuxième livraisons in-folio Chez l'Auteur, rue du Jardin du Roi, et chez Treuttel et Würtz, Paris, Strasbourg et Londres. Prix de chaque livraison, figures noires, 10 fr. et coloriées,

15 fr.

un

l'auteur a mis en pratique une partie des plans qu'il propose, et son travail est le résultat de plus de quarante aunées de recherches et d'expérience. De Phumble, mais utile marais, il s'est élevé par luxe de l'art ajoute aux richesses de la gradation à ces jardins somptueux où le nature, et profite de ses heureuses aberrations pour créer des scènes variées et inattendues : il n'a pas non plus négligé ceux où l'étude vient puiser des connaissances nécessaires à l'humanité: en un mot, il a enibrassé dans son système tout ce qui peut intéresser les cultivateurs et les propritaires de tous les les pays. D'après la méthode qu'il a rangs, de toutes les classes et de tous adoptée, il a divisé les jardins en quatre genres, ces genres en neuf sections et et ces sections en vingt sortes ou espèces qui ont aussi leurs subdivisions su

hordonnées à la nature du sol, à la la température des climats, aux facultés situation des terrains, à leur forme, ¿ et au goût des propriétaires. On peut juger, par cette épumération, que Pauteur ne s'est point resser é dans un cerde l'intérêt dans les détails où il est cle étroit et qu'il a jetë de la variété et

entré.

Cet ouvrage sera composé d'uu va lume renfermant cinquante planches infolio hographiées sur beau papier. Chaque planche offrira, comme dans les deus livraisons que nous annonçons, plan de jardin avec tous les accessoires ARTS MECANIQUES ET INDUSqui tendent à son embellissement et à 'sou utilité; elle sera accompagnée d'un texte explicatif de toutes les parties qu'elle contiendra. Ce n'est point ici le fruit de théories purement brillantes ;

TRIELS.

De l'Industrie française, par M. le comte Chaptal, etc........ (Voyez pour

le développement du titre, l'adresse et le prix, le deuxième cahier de ce Journal 1819.) Article premier (deuxième extrait.)

La troisième partie de l'ouvrage de M. Chaptal, coutient deux chapitres. Dans le premier, il traite des progrès de l'industrie manufacturière depuis trente ans; et il parle des principaux services que la physique et la chimie ont rendus aux arts pendant cet intervalle. Dans le second, il tâche d'apprécier notre ri chesse manufacturière : pour y parvenir, 'il a dû d'abord déterminer la quantité et le prix des matières premières qui sont employées dans les arts: les états statistiques des préfets et ceux des anviens intendans lui out servi pour évaluer les matières qui sont le produit de notre sol; et le tableau des importations dressé aunuellement par l'administra tion des douanes, lui a fourni Pétat de -celles qui proviennent de l'étranger: en consultant ensuite le tableau des exportations, il a pu apprécier aisément la ¿quantité des matières indigènes qui restent pour nos fabriques. Connaissant, par ce moyen, le prix et la quantité des matières premières, soit indigènes, soit exotiques, il ne s'agissait plus que d'évaluer les frais de fabrication. L'auteur a consulté à cet effet les personnes les plus instruites dans divers genres d'industrie (*) L'administration des mines lui a communiqué les tableaux qu'elle fait dresser chaque année pour counai tre les richesses minérales de la France. Indépendamment de ces ressources, il a eu à sa disposition les mémoires successivement présentés au gouver nement par les chambres de coin. merce et d'agriculture dans lesquels on établit l'état du commerce et celui de la fabrication, de la valeur et de la quan

(*) M Chaptal dénomme MM. Ternaux aîné, Darcet, Molard, Bardel, Séguin, Roaid, le baron de Laitre, le comite de Lasteyrie, etc.

tité des produits industriels: c'est principalement dans ces sources qu'il a, pu puiser des faits positifs et juger notre industrie sous tous ses rapports.

Après s'être appuyé sur ces grandes autorités, M. Chaptal ajoute que s'il lui était permis de parler de lui, il dirait qu'il a vécu dans les atteliers et au milieu des artistes pendant quaraute ans; qu'il a créé des établissemens importans; que l'administration générale du commerce, de l'agriculture et de l'industrie manufacturière a été dans ses attributions pendant son ministère; que les séances de l'Académie royale des scien❤ ment qu'il préside depuis son origine, ces et celle de la Société d'encouragel'ont mis à portée de voir et de juger chaque jour les progrès et l'état de notre

industrie.

Pour apprécier la richesse territoriale et manufacturière, M. Chaptal a dû déterminer la valeur de tous les objets qui la constituent; à cet effet, il a fallu écarter les causes accidentelles qui occasiounent momentanément la hausse ou la baisse des produits et prendre le prix moyen sur plusieurs années: cette méthode qui lui a paru la plus sûre, a pu conduire à des résultats qui ne s'accorderont peut-être ni avec le prix du moment, ni avec ceux de quelques locali tés; mais du moins ils expriment la valeur commune de tous les articles qui composent la richesse nationale.

La quatrième partie de l'ouvrage est consacrée à faire connaître les principes qui doivent diriger le gouvernement dans l'administration de l'industrie: Quoique celle du commerce, de l'agriculture et des manufactures ne soit pas compli quée, et qu'ici, comme dans beaucoup d'autres parties de l'art d'administrer, il faille plutôt se garder de faire trop, que de faire peu, l'autorité a néanmoins des devoirs à remplir, et ses actes sont toujours d'une telle importance que leurs effets, ne sont jamais indifférens. M. Chaptal a donc cru qu'il était de son devair de tracer la ligue qu'un gouverné

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si M. de
eVillefosse décrit les différens
moyens de transport usités dans les mi-
nes du Hartz, de Saxe et ailleurs: il
résulte de la comparaison qu'il en fat
que toutes les fois que cela est possible
il est préférable d'effectuer les transports
Smoyen de chariots, ou de traîneaux
appropriés traînés par des chevaux
plutôt que de les effectuer à bras

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M. de Villefosse a traité, en ingénieur habile et exercé, la partie de son ourage qui est relative, aux machines; il fait, le calcul de la plupart de celles qu'il décrit, et par les comparaisons qu'il établit cutre elles, il donne à connaître celles qu'il convient d'employer suivant les circonstances. Ce ne sont plus seulement les persones quis'occupent exclusivement d'exploiter les mines qui trouveront dans cet ouvrage des instructions

ine. Il entré dans des détails éteur utiles. Divers procédés de construction les voies de roulage pratiquées dans les employés soit pour le mouraillement, nines de houille de Koenisgrass en Silé- soit pour le boisage des galeries, intéressie, sur la forme et les dimensions des sent tous les ingénieurs appelés à s'occuchariots qui sont usités; il fait remar per de travaux publics: on doit en dire quer Pavantage de rendre les les roues de autant du mode d'établissement, des dicest chariots indépendantes les unes des gues qui forment les étangs où les eaux ́autres, en donnant à chacune un essieu moices sont reçues et approvisionnées particulier, et qui facilite leurs mouve dans différens cantons du Hartz, des men's dans les contours plus ou moins conduites d'eau, des aquéducs, et des Prononcés du chemin qu'ils doivent par- roues hydrauliques que ces eaux, mettent courir. Mais de tous les nioyens de trans. en mouvement, enfin, des ouvrages de port le plus économique dans le trans tout genre de maçonnerie et de charpore des mines, cointe à la surface de penje dont M. de Villefosse doune la la terre, est celui qui se fait par le description. malheureusement toutes les localités ne se prêtent pas à ce qu'il soit générale ment adopté. L'exemple que Mode VilJefossem donne est tiré de la descrip

tion des mines de houille de Fisch-Grube én Silésie; la galerie » d'écoulement de ces mines pratiquées à une grande profondeur au-dessous du sol a été rendue navigable ;elle a environ rmétré 50 cenatimètres de largeur sa profondeur est -de Imètre 25 centimètres les bateaux cont[8, mètres 50 centimètres de longueur, ils porteut chacun dix caisses quadrangulaires contenant ensemble en-viron dis boisseaux de bouille; ils sont

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Le mérite d'être renduapropre à intéresser › non seulement les administralteurs, mais encore les ingénieurs › de tous les corps, a paru aux commissai

res caractériser le travail de M. de Villefosse, et il doit y disent-ils, ce caractère à la réunion des diverses connaissances, qu'on acquérait à l'école polytechnique, dont il est un des élèves les plus distingués. L'emploi des méthodes graphiques de la géométrie descriptive, enseignée dans cette école célébré, se reconnaît sur chacune des planches de son atlas, consacré à la représentation des machines: les autres planches qui le compo

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