Bolanistes, par madame Guénard, plication du phénomène général, celle baronne de Méré: orné d'environ de la loi des distances; la constitution

200 vignettes gravées avec le plus
grand soin. 4 vol. in-18. Eymery

Prix 8 fr.

Cet ouvrage est le fruit des cours que

madame de Méré suivis sous M. Des

fontaines, de l'institut royal. Avant de le publier, elle a voulu consulter son ancien professeur. Ce savant Botaniste a reconnu l'utilité de son travail et ap plaudi à son exécution. Non content d'approuver l'ouvrage, il en a revu luimême toute la partie botanique. Plus sieurs autres académiciens ont eu sous leurs yeux le manuscrit le cadre leur en a paru heureusement tracé: les peti tes histoires qui y sont répandues leur ont paru toujours placées à propos, et offrir à la jeunesse une lecture amusante à ôté d'une leçon sans recherche. On jugera, nous le présumions avec assurance, que de vains embellissemens n'y altè: ent jamais l'utilité du fond, dema nière que les personnes d'un âge mûr qui désireraient suivre un cours de botanique, pourront, comme les jeunes gens, consulter avec fruit cet ouvrage

de madame de Méré.

Deux Traités de physique mécani. que, publiés par Pierre Prévôt, comme simple éditeur du premier et comme auteur du second, 1 vol. in-8. Genève et Paris Paschoud., Prix Anfṛ.

Article premier.

des graves, celle de la loi des masses; chapitre donne la détermination des qual'accélération des graves. Un second Lités susceptibles de plus ou de moins des vues générales de la petitesse des dans la physique corpusculaire, avec corpuscules ultramondains: de leur vitesse et de la rareté du fluide gravitique. Quelques déterminations plus précises de ce chapitre. Le troisième chapitre et quelques proportions relatives au sujet roule sur la distribution des corpuscules ultramondains, et le quatrième sur la perméabilité des corps célestes et terrestres. Le cinquième chapitre traite de la perméabilité générale des corps, de celle des composés, de la forme des élé-mens et de leur perméabilité, de la mesure de l'interception. Dans le sixième chapitre, il s'agit du retour des corpuscules on y considère la vitesse moyenne avec laquelle ils reviennent, les effets de leur retour en y ajoutant quelques remarques particulières. Le chapitre septième a pour objet la rencontre mu tuelle des corpuscules. Le huitième cha recherche. Le neuvième chapitre, la pitre, la marche de l'auteur dans cette méthode d'exclusion qu'il emploie. Enfin le dixième chapitre contient l'exposé sommaire qu'il a fait à l'usage desfinathématiciens et publié de son vivant à la suite du Lucrèce Newtonien.

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A

Livre deuxième Ce livre renferme la discussion des objets qui peuvent s'élever contre le système des corpuscules ultramondains. Dans le premier chapi tre on expose la résistance que le fluide glarifique peut offrir au mouvement deš,

Le e premier traité a pour objet la phy-grands corps, et particulièrement des sique mécanique de feu M. Lesage, sa vant distingué de Genève : il est divisé en quatre livres.

Livre premier. Ce premier livre pré, sente l'exposition du système des corpuscules ultramondains. Un premier chapitre indique le but de ce système; la constitution du fluide gravifique ; l'ex

planètes, avec une exposition sommaire!! de l'objection et de la réponse, et une remarque historique. Dans le second, chapitre, on examine la rencontre mntuelle des corpuscules ultramondains, avec un exposé de l'objection et des réponses, et quelques détails et remarques particulières. Dans le troisième

T

dans les savantes leçons de M. le che valier Chaussier son père, docteur en médecine, professeur à la Faculté de Paris, médecin en chef d'accouchement, président des jurys de médecine,etc.., on a commencé par donner des potions gé nérales sur les poisons: de là l'on passe à l'empoisonnement dout on indique d'abord les/causes physiques et morales par la distinction de l'empoisonnement accidentel, volontaire et criminel, et dont on assigne ensuite les moyens par lesquels il s'opère et qui se réduisent à la déglutition; à la respiration, au contact, à l'introduction. A ces préliminaires indispensables succède l'exposé du moyen mécanique d'extraire de l'estomac les poisens tirés du règne minéral, végé tal et animal. Puis viennent des considérations sur la pustule maligue, les animaux emagés, les vipères et les ser pens vénimeux, le Scorpion, la tareutule, l'abeille, la guepe, etc.... On traite ensuite, mais rapidement, des maladies contagieuses, de l'épidémie, de l'épizootie, de la petite vérole et de la vaccine, de la brûlure par les acides, les alcalis, le feu, etc...., de la congélation. L'ouvrage est terminé par des observations sur l'asphyxie occasionnée par le le froid, la chaleur; sur les gaz, noyés; sur les secours à administrer aux enfans qui naissent sans donner signe de vie; sur l'ivresse; sur les coups violens, les contusions, sur le verre et Pémail en poudre, sur l'iuflammation des poumons, sur le galvanisme, sur le respirateur artificiel, sur le croup; enfiu sur la chlorate de potasse.

Traité des maladies chirurgicales et 'des opérations qui leur convien"nent, par M. Boyer, etc. (Voyez pour le développement du titre, l'adresse et le prix, le dixième calier de ce Journal 1818.)

Article deuxième.

Dans un premier article inséré dans le onzième cahier de ce journal (1818),

Le troisième chapitre à pour objet la› gangrene: on la distingue en gangrène de causes externes; savoir celle qui est produite par l'inflammation, par la contusion, par une compression lente, par la brûlure, par la congélation, par l'interception du cours des liquides ; et en gangrène de cause interne, savoir celle qui est produite par la malignité de la cause de l'inflammation, qui survient. dans le cours d'une fièvre putride ou maligne, et enfin la gangrène sèche.

Le quatrieme chapitre embrasse tous les cas de brûlure,

Le cinquième chapitre est consacré aux plaies. On y considère d'abord les plaies en général : puis on y traite des plaies faites par les instrumens tranchans et celles qui suppurent: on indique ensuite les accidens qui compliquent les plaies qu'on distingue en accidens primitifs, tels que l'hémorragie par laquelle on expose les moyens propres à Parrêter; la douleur, l'inflammation, le tétanos, la paralysie; et en accidens consécutifs des plaies, tels que le croupissement du pus, la suppression de la humide d'hôpital. On passe ensuite aux suppuration, la' pourriture, ou gangrène plaies faites par les instrumens piquans, à la contusion et aux plaies contuses,' anx plaies d'armes à feu ou d'arquebuse, aux plaies par arrachement, enfin aux plaies par morsures d'animaux sains, d'animaux vénimeux, d'auimaux enragés.

Cours élémentaire de chimie appliquée à la médecine, par Laurent Sallé, etc.... ( Voyez pour le développement du titre, l'adresse et le prix, le onzième cahier de ce Journal 1818.)

Dans ce cours, l'auteur, après avoir exposé les principes de la chimie, a pris

soin de ne traiter avec une certaine étendue que les faits les mieux counus et qui ont le plus de rapport à la médecine: il s'est arrêté de préférence aux opérations dont les résultats peuvent être regardés comme prouvés: enfin il a traité, comme médecin, des produits médicamentaux à mesure qu'ils se présentaient. Quant à ce qui regarde la mar che a suivre, l'auteur observe qu'elle a élé tracée par la nature même des choses, qu'ainsi, il a dû s'attacher aux corps inorganiques, d'abord comme plus simples, puis aux cops organiques, entre lesquels sont les végétaux et les auimaux: il observe encore que c'est surtout dans la première partie, dite chi mie minérale qu'on s'est plû à changer la disposition des objets; qu'il ne prétend pas balancer aucune des classifications; qu'il faudrait, pour vanter les unes aux dépens des autres, faire l'énoncé d'un trop grand nombre de matières: il se borne à dire que toutes ces divisions, avec des avantages, présentent en même temps des inconvéniens qu'il n'aurait peut être pas pû lui-même éviter, mais que livré depuis longtemps à l'ensei gnement, il a dû sacrifier à l'expérience et s'attacher seulement aux moyens qui lui ont paru les plus propres transmettre des connaissances nécessaires.

Cours élémentaire de pharmacie appliquée à la médecine, par Laurent Sallé, etc.... (Voyez pour le développement du titre, l'adresse et le prix, le onzième cahier de ce Journal 1818.)

Le plan que l'auteur a suivi dans cet

ouvrage, est tel que l'étudiant passe toujours des choses plus simples à celles qui le sont le moins.

Ainsi la pharmacie étant définie, et par suite ayant été traitée de quelques géné alités importantes, se présentent les modifications que doivent subir les corps pour servir à la formation des composés, ce qui donne la dessication et la pulvérisation. Après quoi l'on voit que par la simple expression de certaines substances, on peut en obtenir des produits liquides sous le nom de sucs, lesquels peuvent être aqueux, acides ou huileux. Mais il est une autre opération qui fournit eucore des liquides importans, c'est la distillation: elle donne les eaux aromatiques, les huiles essentielles et les alcools, tous liquides servant à la solution par laquelle on obtient les tisanes, les apozèmes et quelques produits analogues, tels que les bouillous médicamentaux, le petit lait, les émulsions: viennent ensuite les teintures, les vins, les vinaigres médicinaux, les huiles pharmaceutiques, etc... Si par un moyen quelconque, l'on enlève à plusieurs de ces solutions le li quide employé pour les formes, on retrouve pour produit fixe et solide, ce qu'on appelle extraits, médicamens précieux dont la nature varie et dont le grand nombre oblige à des subdivisions qui sont indiquées dans l'ouvrage Mais il est des solutions qu'il est utile de couseiver: on y parvient par l'addition du sucre en quantité variable, ce qui donne une série nombreuse de produits sous le nom de sirops. Jusques là, l'on n'aura vu, en quelque sorte que des préparations; mais on pourra dès lois traiter de la composition, et pour y arriver, présenter la mixtion en simple et composée: de là, les espèces, les poudres composées, les conserves, les pâtes et les tablettes, les électuaires, les bols, pillules et les potious; puis les onguents, les cérats, les linimens, les emplâtres et les speradropses; ayant ainsi traité de toutes les opérations qu'on est convenu

DEUXIÈME CLASSE.