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Non content de doubler la longueur des leçons, il en doubloit le nombre; ne se lassoit point tant qu'il voyoit un talent naissant à guider: qu'il aperçût un trait heureux de pinceau, que son œil rencontrât un regard de reconnoissance, et il se croyoit récompensé. Aussi, quel maître fut jamais entouré d'un cercle plus aimable de disciples, et en fut plus aimé! Pleine de jeunes personnes dans la fraicheur de leur âge, son école ressembloit souvent à ses tableaux; c'étoit le printemps du talent dans toute sa beauté; mais c'étoit aussi l'espoir de la science, une source féconde de richesses nationales. Non-seulement il en est sorti cette multitude d'hommes utiles qui remplissent les ateliers et les fabriques, et y portent cette élégance de formes et cette vivacité de couleurs qui en font le succès; proclamons-le hautement, nous, sans cesse occupés de répandre la connoissance de la nature; il en est sorti aussi cette multitude d'autres hommes qui, par leur habileté à rendre dans tous leurs détails et dans toute leur vérité les êtres les plus divers, sont devenus pour nous des auxiliaires puissans et désormais indispensables. Qui ne se souvient de l'imperfection et de la rareté des figures dans les ouvrages publiés encore au commencement du dernier siècle, et de la peine que le naturaliste avoit à y reconnoltre les espèces les plus communes! Buffon même n'eut souvent que des planches incorrectement dessinées et grossièrement coloriées, Aujourd'hui des ouvrages nombreux et magnifiques ont multiplié à l'infini des images-aussi reconnoissables que les originaux eux-mêmes. Les Redouté, les Huet, les Barraband, ont niultiplié le muséum d'histoire naturelle; ils ont fourni en quelque sorte au monde entier des cabinets complets et portatifs; et, nous pouvons en convenir sans honte, ce secours nouveau a contribué, autant que les travaux d'aucun de nous, à fixer la prééminence de notre pays dans les sciences naturelles. Voilà cependant des services entièrement dus à l'école de M. Van-Spaendonck: tant sont incalculables les bienfaits qui peuvent naître de l'activité d'un seul homme, et d'une distribution bien conçue en quelque genre que ce soit! Pourquoi faut-il qu'une existence si heureuse et si utile se soit vue si inopinément terminée ! La mort, comme pour rendre son arrêt plus terrible, est venue frapper M. Van-Spaendonck au moment de l'année qui étoit pour lui le moment des plus douces jouissances; lorsque les fleurs renaissoient; lorsque de toute part ses jeunes élèves accouroient à ses leçons, et se flattoient d'y retrouver l'instruction toujours conduite par le plaisir. Vain espoir! un instant a suffi pour fermer cette école si vive, si joyeuse, où le travail et l'urbanité entretenoient une gaieté si aimable. Il ne lui reste plus de ce bon maître qu'une cendre inanimée et un souvenir impérissable. Que les fleurs qu'il aima décorent du moins sa tombe; qu'arrosées des larmes de ses élèves, elles croissent et se renouvellent; qu'elles semblent dire : Ici repose l'ami qui nous consacra sa vie; 'nous aussi nous serons pour lui toujours reconnoissantes. >>

Le 3 juin, M. Cuvier a prononcé, aux funérailles de M. Haüy, un discours dont voici un extrait.., « Au milieu d'occupations obscures et laborieuses, une idée vient sourire à M. Hauy, une seule, mais lumineuse et féconde. Dès-lors il ne cesse de la suivre; son temps, les facultés de son esprit, il lui consacre tout. Pour elle il étudie la minéralogie, la géométrie, la physique; il semble vouloir devenir un homme tout nouveau. Mais aussi quelle magnifique récompense accordée à ses efforts! Il dévoile la secrète architecture de ces productions mystérieuses où la matière inanimée paroissoit offrir les premiers mouvemens de

la vie, où il sembloit qu'elle prit des formes si constantes et si précises, par des principes analogues à celles de l'organisation. Il sépare, il mesure par la pensée les matériaux invisibles dont se forment ces étonnans édifices, il les soumet à des lois invariables; il prévoit par le calcul les résultats de leurs assemblages; et parmi des milliers de ces calculs, aucun ne se trouve en défaut. Depuis ce cube de sel que chaque jour nous voyons naltre sous nos yeux, jusqu'à ces saphirs et à ces rubis que des cavernes obscures cachoient en vain à notre luxe et à notre avarice, tout obéit aux mêmes règles; et parmi les innombrables métamorphoses que subissent tant de substances, il n'en est aucune qui ne soit consignée d'avance dans les formules de M. Haüy. Comme un de nos plus illustres confrères a dit avec raison qu'il n'y aura plus un autre Newton, parce qu'il n'y a pas un second système du monde, on peut aussi, dans une sphère plus restreinte, dire qu'il n'y aura point un autre Haüy, parce qu'il n'y a pas une deuxième structure des cristaux. Semblables encore en cela à celles de Newton, les découvertes de M. Haüy, loin de perdre de leur généralité avec le temps, en gagnent sans cesse, et l'on diroit qu'il en a été de son génie comme de ses découvertes. Loin que l'âge ôtât quelque chose au mérite de ses travaux, c'étoient toujours les derniers qui étoient les plus parfaits; et les personnes qui ont vu l'ouvrage auquel il travailloit dans ses derniers momens, nous assurent qu'il sera encore le plus admirable de tous. Quelle douce existence que celle qui se dévoue ainsi toute entière au culte d'une vérité grande et certaine; d'une vérité autour de laquelle se groupent chaque jour de nouveaux faisceaux de vérités subordonnées! Combien un tel spectacle éclipse, aux yeux de l'homme digne d'en jouir, ce que le monde peut lui offrir de plus brillant! et qui jamais l'apprécia mieux que M. Haüy! Ces objets mêmes qu'il étudioit sans cesse, ces pierreries qu'une aveugle fureur va chercher si loin, au prix de tant de fatigues et quelquefois au prix de tant de sang, ce qu'elles ont de précieux pour le vulgaire étoit précisément ce qui lui demeuroit étranger. Un nouvel angle dans le plus commun des cristaux l'auroit intéressé plus que les trésors des deux Indes.... » L'académie des sciences a élu M. Chaussier, pour remplir, dans la section de médecine, la place vacante par le décès de M. Hallé.

L'académie des Jeux floraux a célébré, le 3 mai 1822, la fête des fleurs avee la solennité ordinaire. Voici la liste des ouvrages couronnés : le Détachement de la terre, ode, par M. Durand de Vrandaulmont (de la Seine), a remporté le prix. L'ode à l'Etoile de la lyre, par M.me Tastu, a obtenu une amarante réservée ; l'ode intitulée la Révélation, par M. Emile Lefranc, un lis réservé; le poëme intitulé Isaure et Olivier, ou le Lépreux, par M. A. Bignan, de Paris, une violette réservée. L'épitre intitulée le Dédain du siècle pour la poésie, avoit obtenu un souci réservé; mais le correspondant par qui cet ouvrage étoit parvenu au secrétariat ne s'étant pas cru autorisé à en nommer l'auteur, l'académie a révoqué sa délibération. L'idylle intitulée le Tombeau ou Hommage au docteur Mazit, par M. Dieulafoi, de Toulouse, a obtenu un souci réservé; l'élégie intitulée Prière d'un jeune poëte à la Vierge, par M. A.-S.-Saint-Valry, un lis réservé. La violette, le souci et le lis de l'année, ont été réservés. Aucun des discours sur le sujet donné, n'ayant rempli les intentions de l'académie, elle propose de nouveau pour le concours de 1823, l'Éloge du célèbre et infortuné navigateur Galaup de la Pérouse, né à Albi, en doublant le prix, qui sera de deux églantines, L'académie aura à distribuer pour l'année 1823, comme prix

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réservés des concours précédens, deux amarantes, une violette, un souci, trois lis et trois églantines. L'académie a, tous les ans, cinq fleurs à distribuer comme prix de l'année, savoir: l'amarame, la violette, le souci, le lis et l'églantine. L'amarante d'or vaut quatre cents francs: il n'y a que les odes qui concourent pour cette fleur. La violette d'argent vaut deux cent cinquante francs; elle est destinée à un poëme qui n'excède pas deux ou trois cents vers, à une épître ou à un discours en vers. Le souci d'argent, qui vaut deux cents francs, est le prix de l'églogue ou de l'idylle, et de l'élégie. Le lis d'argent, qui vaut soixante francs, est destiné à un sonnet en l'honneur de la Vierge, ou à un hymne sur le même sujet. C'est le seul prix de poésie pour lequel les auteurs ne soient pas libres de traiter un sujet à leur choix. L'églantine d'or vaut quatre cent cinquante francs: c'est le prix du discours, dont l'académie donne toujours le sujet. Le concours sera ouvert jusqu'au 15 février 1823, inclusivement. Les auteurs feront remettre, par une personne domiciliée à Toulouse, trois copies de chaque ouvrage, à M Pinaud, conseiller à la cour royale, secrétaire perpétuel de l'académie, qui en fournira un récépissé. Il est inutile d'y joindre un billet cacheté contenant le nom de l'auteur.

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L'académie des sciences, arts et belles-lettres de Dijon, convaincue de l'importance de la question qu'elle avoit proposée pour 1822, l'a remise au concours pour 1823. Le prix est une médaille d'or de 600 francs. Les mémoires doivent être adressés francs de port au président de l'académie, avant le 1."' avril 1823. La question est ainsi conçue: « Développer cette vérité, que l'autorité, en » prévenant les écarts de l'indépendance dans la société religieuse, civile et domes»tique, devient le premier de nos intérêts et le plus indispensable des besoins sociaux. Concentrer dans un foyer commun les lumières disséminées sur ce sujet dans nos » meilleurs ouvrages; distinguer l'autorité, qui est essentiellement raisonnable, de l'arbitraire, qui est en soi contraire à la raison; étudier l'influence secrète » de l'autorité sur notre conduite privée et sur nos habitudes morales; montrer "combien l'autorité se trouve en harmonie avec le cœur de l'homme, avec »l'esprit de l'homme, avec toute la nature de l'homme; rappeler les écarts aux»quels il est condamné, dès qu'il contredit cette loi de son être resserrer toutes ces considérations dans un ensemble qui, sans exclure la rapidité ni » la chaleur, en feroit mieux ressortir toute la force: tel seroit à-peu-près le » plan desiré par l'académie. Elle ne demande pas aux concurrens des déve»loppemens qui excéderoient de beaucoup l'étendue des discours ordinaires; » mais elle attend une composition où l'on saura s'élever aux points de vue les »plus généraux d'un si vaste sujet, où seront réunies toutes les considérations »principales. Si le discours qu'elle couronnera renfermoit le germe d'un grand »et bel ouvrage où toutes les vérités qui se rattachent aux points qu'elle vient » d'indiquer pussent un jour trouver leur place, l'auteur auroit véritablement » atteint le but. » L'académie propose en outre pour 1823 la question suivante : Comment pourroit-on enlever aux eaux-de-vie de marc de raisin, de grains, de pommes de terre, et l'odeur et la saveur qui les distinguent de l'eau-de-vie de vin! Le prix est une médaille d'or de la valeur de 300 francs.

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Dictionnaire raisonné des difficultés grammaticales et littéraires de la langue

française, par J. Ch. Lavaux; seconde édition, revue, corrigée et considérablement augmentée. Paris, impr. de Fain, chez Ledentu, 2 vol. in-8. Prix, 15 fr. La première édition, publiée en un seul volume en 1818, a contribué à répandre de très-saines notions de grammaire et de littérature.

Romancero e historia del rey de España dom Rodrigo, postrero de los Godos, en lenguage antiguo, recopilado por Abel Hugo. Paris, 1821, in-12,

Romances historiques, traduites de l'espagnol, par A. Hugo. Paris, 1822, in-12. Dans l'un de nos prochains cahiers nous rendrons compte de ce volume et du précédent.

Recueil de l'académie des Jeux floraux, 1822. Toulouse, impr. de J. Dalles, in-8, de 8 feuilles. Ce volume contient les pièces couronnées qui ont été indiquées ci-dessus page 380.

Contes d'un philosophe grec, par M. Baour-Lormian, membre de l'académie française. Paris, impr. de David, chez Ladvocat, 2 vol. in-12. Prix, 5 fr.

Poésies et traductions en vers, de Firmin Didot. Paris, de la typographie de l'auteur, in-12 de 400 pages. Ce volume contient la tragédie d'Annibal, des poésies fugitives, des traductions des Bucoliques de Virgile, des seize premières idylles de Théocrite, &c...

"Attila, tragédie en cinq actes, par M. Hippolyte Bis; représentée sur le second théâtre français, le 26 avril 1822. Paris, impr. de David, chez Béchet aîné; seconde édition, 3 fr. 50 cent.

Euvres complètes de Montesquieu, nouvelle édition, avec les remarques d'Helvétius et de Condorcet, le commentaire de Voltaire, beaucoup de notes extraites de divers auteurs; et précédées de l'éloge de Montesquieu par d'Alembert; ornées d'un très-beau portrait; un volume in-8., papier grand raisin demi-vélin superfin, imprimé sur deux colonnes. Prix, 25 francs pour les souscripteurs. On souscrit à Paris, chez J. A. S. Collin de Plancy, éditeur, boulevart Montmartre, n.o 23, et chez L. Duprat-Duverger, rue des FossésSaint-Germain-des-Prés, n.o 13. La souscription sera fermée le 1er juillet prochain. L'ouvrage paroîtra peu après. L'éditeur se propose de donner successivement, dans le même genre, tous les grands classiques français.

Aesaveros: Aristaneti epistolæ, quas ad fidem cod. Vindobonensis recensuit, suisque notis instruxit, Jo. Fr. Boissonade. Lutetiæ, in-8. Chez Debure, libraire, rue Serpente. Il sera rendu compte de cette nouvelle édition des Jettres d'Aristénète dans l'un de nos prochains cahiers.

L'Europe au moyen âge, traduit de l'anglais de M. Henri Hallam, par MM. P. Dudouit, avocat à la cour royale de Paris, et A. R. Borghers; tome IV, contenant, 1.° l'histoire de l'Allemagne jusqu'à la diète de Worms en 1495; 2.o le tableau général de la société en Europe, ou l'histoire du commerce, des mœurs et de la littérature pendant le moyen âge; 3.o une table générale, Paris, impr. de Cordier, chez Delestre-Boulage, in-8. de 474 pages. Če IV. volume complète la traduction de l'important ouvrage de M. Hallam, Histoire de la république de Venise, par P. Daru, de l'académie française; seconde édition, revue et corrigée. Paris, impr. et librairie de Firmin Didot, 8 vol. in-8.° ornés de cartes. Prix, 68 fr. Nous avons rendu compte en 1819 de la première édition de ce grand ouvrage. Elle n'étoit qu'en sept volumes; celle-ci en a un de plus; tome I, 647 pages, contenant les huit premiers livres, et conduisant l'histoire jusqu'à la conjuration de Marin Falieri en 1355, avec une carte de l'ancienne Vénétie, et un plan figuré des procédés suivis dans

l'élection du doge. Tome II, 634 pages, liv. IX - XVII, jusqu'à l'année 1484. Carte des Lagunes au moyen âge; carte des Lagunes dans leur état actuel.-Tome III, 660 pag., liv. XVIII-XXIV, jusqu'à la paix générale après la ligue de Cambrai, en 1516. Carte des provinces de Terre-Ferme. - T. IV, 604 pages, liv. XXV-XXXII, jusqu'en 1644; carte générale des états de la république de Venise.-Tome V, 622 pag., liv. XXXIII-XXXVII, jusqu'aux préliminaires de paix à Léoben en 1797. Carte de la Morée et de l'archipel.Tome VI, 531 pages, liv. XXXVIII, année 1797, 1798; liv. XXXIX, Gouvernement de Venise; liv. XL, Sciences et arts chez les Vénitiens.- Statuts de l'inquisition d'état; liste des doges. Plan de la ville de Venise.-Tome VII, 928 pages; et tome VIII, 643 pages. Notices des manuscrits et pièces justificatives. Table alphabétique des matières. Il n'y a guère de pages, dans ces huir volumes, où l'on ne trouve des additions ou des corrections souvent assez notables. Par exemple, au v. livre, délibération sur la proposition qui fut faite, dit-on, en 1225, de transférer le siége du gouvernement de la république à Constantinople. Au VIII.livre, fragment d'un auteur inconnu sur la guerre des Vénitiens contre Martin de la Scala, 1334. Au IX. livre, Notes sur les dépenses de l'expédition contre Alexandrie, en 1365. Au XXI. livre, additions sur le mariage de Louis XII; sur un crime imputé au pape Alexandre VI. Au XXXIII. livre, lettre du cardinal Mazarin à la république. Au XXXV. livre, additions sur quelques exemples de la versatilité de la politique vénitienne. Au XXXIX. livre, additions sur le gouvernement vénitien. Au XL. livre, additions considérables sur la littérature vénitienne. Dans les pièces justificatives, beaucoup d'additions encore; notamment, notices sur les manuscrits du journal de J. Burckhard, maître des cérémonies du Pape Alexandre VI (section 3, §. 6). Extrait de l'ouvrage de M. Zendrini sur les travaux hydrauliques des Vénitiens, en ce qui concerne les travaux entrepris à l'occasion de la guerre de Chiozza (section 8). Nouvelles observations sur la conjuration de 1618 (section 10), &c. &c. L'auteur n'a négligé aucune des recherches, aucun des soins qui pouvoient porter au plus haut degré l'utilité et l'intérêt de cette histoire.

Lettres sur la Suisse, écrites en 1820, et suivies d'un voyage à Chamouny et au Simplon, par M. Raoul-Rochette, in-8.° orné d'une vignette représentant un site du Simplon. Ce volume complète la description de la Suisse: nous nous proposons d'en rendre compte dans l'un de nos prochains cahiers.

Lettres de M. de Saint-Martin, évêque de Caradre, vicaire apostolique du Su-tchuen, à ses père et mère, et à son frère, religieux bénédictin; précédées d'une notice biographique et suivies de notes, par M. l'abbé Labouderie, ancien vicaire de Notre-Dame, &c. On y a joint un Essai sur la législation chinoise, par M. Dellac, avocat à la cour royale de Paris. Paris, chez Th. Leclere, 1822, in-8., cvj-393 pages.

Second Mémoire relatif aux anciens colons de Saint-Domingue, servant de suite à celui qui a pour titre, Memoire sur le moyen de réparer les torts faits au commerce de la France par l'insurrection de l'ile de Saint-Domingue, et prouvant la facilité du projet qui y est proposé, par le docteur Würtz. Paris, impr. d'Herhan, in-8. 124 pages, chez Treuttel et Würtz. Le prix de ces deux mémoires est ensemble de 2 fr. 50 cent., et franc de port 3 fr.

Voyage de M. Lelorrain en Égypte, et observations sur le zodiaque de Denderah, par M. Saulnier fils. Paris, impr. de Sétier, chez l'auteur, rue de Rivoli, n.o 32, et chez les marchands de nouveautés, in-8, de 92 pages. Prix, 2 fr.

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