For he would never thus have flown, A single cloud on a sunny day, ΧΙ. A kind of change came in my fate, My brothers' graves without a sod; XII. I made a footing in the wall, It was not therefrom to escape, For I had buried one and all Who loved me in a human shape; And the whole earth would henceforth be A wider prison unto me: Lord Byron. II. 30 No child no sire — no kin had I, I thought of this, and I was glad, To my barr'd windows, and to bend XIII. I saw them and they were the same, On high their wide long lake below, A small green isle, it seem'd no more, The fish swam by the castle wall, And they seem'd joyous each and all; Between the entrances of the Rhone and Villeneuve, not far from Chillon, is a very small island; the only one I could perceive, in my voyage round and over the lake, within its circumference. It contains a few trees (I think not above three), and from its singleness and diminutive size has a peculiar effect upon the view. The eagle rode the rising blast, XIV. It might be months, or years, or days, And clear them of their dreary mote; At last men came to set me free, I ask'd not why, and reck'd not where, And thus when they appear'd at last, Had power to kill — yet, strange to tell! MAZE P PA. ADVERTISEMENT. "CELUI qui remplissait alors cette place était un gentilhomme Polonais, nommé Mazeppa, né dans le palatinat de Podolie: il avait été élevé page de Jean Casimir, et avait pris à sa cour quelque teinture des belles-lettres. Une intrigue qu'il eut dans sa jeunesse avec la femme d'un gentilhomme Polonais ayant été découverte, le mari le fit lier tout nu sur un cheval farouche, et le laissa aller en cet état. Le cheval, qui était du pays de l'Ukraine, y retourna, et y porta Mazeppa, demi-mort de fatigue et de faim. Quelques paysans le secoururent: il resta longtems parmi eux, et se signala dans plusieurs courses contre les Tartares. La supériorité de ses lumières lui donna une grande considération parmi les Cosaques: sa réputation s'augmentant de jour en jour, obligea le Czar à le faire Prince de l'Ukraine.' VOLTAIRE, Hist. de Charles XII. p. 196. " - "Le roi fuyant, et poursuivi, eut son cheval tué sous lui; le Colonel Gieta, blessé, et perdant tout son sang, lui donna le sien. Ainsi on remit deux fois à cheval, dans la fuite, ce conquérant qui n'avait pu y monter pendant la bataille.” — p.216. "Le roi alla par un autre chemin avec quelques cavaliers. Le carrosse, où il était, rompit dans la marche; on le remit à cheval. Pour comble de disgrace, il s'égara pendant la nuit dans un bois; là, son courage ne pouvant plus suppléer à ses forces épuisées, les douleurs de sa blessure devenues plus insupportables par la fatigue, son cheval étant tombé de lassitude, il se coucha quelques heures au pied d'un arbre, en danger d'être surpris à tout moment par les vainqueurs, qui le cherchaient de tous côtés." - p. 218. |